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18 juin 2009 4 18 /06 /juin /2009 08:00
Encore une autre recette testée lors de notre fol week-end : celle-ci est la spécialité du mari de Domamido.

Pour 6 personnes, prévoir une belle côte de boeuf à l'os (commandée chez le boucher à l'avance).

Sortez-là une bonne heure avant cuisson afin de la monter à température ambiante et éviter un trop grand choc thermique à la cuisson.

Peu avant, enduisez-là de chaque côté d'une bonne couche de moutarde (basique) et posez-là sur un grille dès que les braises sont faites, assez haut également.

8 minutes de chaque côté, quelques minutes de repos... il ne reste plus qu'à trancher la pièce en morceaux.




J'avais prévu des sauces pour accompagner (marchand de vin, poivrade, béarnaise) mais elles sont restées... dansq leur sachet : le goûtde la viande se suffisait à lui-même !
Et quel parfum....

Notre bestiole à moustaches surveillait la cuisson.. et les os !
Rien de perdu chez nous : le recyclage est automatique... et apprécié.

Quelques pommes de terre cuites sous la cendre (il suffit de les laver, les envelopper humides dans du papier aluminium et de les mettre dans la cendre un moins 1/4 d'heure -à vérifier suivant la grosseur) et c'est le bonheur !
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17 juin 2009 3 17 /06 /juin /2009 08:00
Dernièrement, dans un salon du livre, j'ai découvert l'ouvrage de Claude Jacquot :

Nues tout simplement





Le livre de ce photographe tranche dans le monde des beautés formatées et photoshopées en présentant "de vraies femmes" comme il le dit lui-même, de tous âges et de toutes morphologies, telles que nous le sommes nous-mêmes ou en croisons tous les jours.

Donc, pas de mannequins, ici, ni de modèles professionnels, mais simplement des femmes qui ont osé se mettre à nu sous le regard pudique et timide du photographe et qui, justement racontent cette expérience en légende de leurs photographies -sublimes-en noir et blanc.


FR3  a tourné un petit reportage sur ce photographe et sur sa démarche qui n'est pas sans rappeler celle de l'émission de télé "réalité" (pour moi plutôt télé à la limite du voyeurisme par son traitement de ce sujet qui aurait pu être beaucoup plus humain, en laissant de coté le sensationnel plus accrocheur et vendeur)  Belles toutes nues dont le but était de faire accepter leur corps (et leurs rondeurs) à des femmes enrobées.

Ici, aucun traitement de l'image ni de la femme, pas de fards ni de manipulations quelconques.
La parole leur est donnée : elles sont les vrais maîtres d'oeuvre de ce livre, choississant les poses, les décors (souvent chez elles), les clichés à éditer et évidemment en écrivant leur texte.

Une belle réussite saluée par nombre de professionnels.

Dommage qu'il était si cher pour ma bourse (35 €), sinon je l'aurais bien acheté.
Et encore, pour un livre d'art et de si belles photographies, ce n'est pas cher : au moins il possède un contenu qui restera au-delà des photographies, un message d'espoir de la part de toutes celles -anonymes- que nous cotoyons journellement et qui ne se trouvent pas plus belles que vous et moi.

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16 juin 2009 2 16 /06 /juin /2009 20:59

J'ai essayé  cette recette glanée au marché, à l'étal de ma marchande de canards gras préférée.
Une cliente achetait la même chose que moi (des magrets, donc) et m'entendant dire qu'ils étaient destinés à être grillés au barbecue nous a donné sa recette, simplissime :

Pour un magret, il faut :
- 1 cuiller à soupe de vinaigre balsamique
- 1 cuiller à soupe de miel (s'il est solide, faites le liquéfier quelques secondes au micro-ondes)
- 1 échalote

Coupez finement l'échalote et mélangez-la aux 2 autres ingrédients.



En ce qui me concerne, je mixe le tout dans mon mixer préféré qui ressemble comme 2 gouttes d'eau à un engin vendu (hors de prix) dans une émission de télé achat : il m'a couté beauuucoup moins cher (10 €) et me sert à tout; à tel point que je le trouve maintenant indispensable !




Pour en revenir à mon magret, je le coupe en 3 bandes longitudinales puis en carrésque je laisse mariner au moins une heure dans la préparation, l'idéal étant de mettre le tout dans un récipient étanche et de remuer régulièrement.

Enfiler les morceaux sur des brochettes et faire griller (sur feu vif mais assez loin des braises), d'abord du côté graisse puis de l'autre.
Ils doivent idéalement rester rosés à coeur tandis que la surface est caramélisée.

Attention : prévoir un plat en métal devant la grille du barbecue : la graisse dégouline partout en fondant.

Je vous garantis que le résultat est délicieux !




ok, la photo n'est pas terrible, mais c'est tout ce que j'ai pu faire avant d'être agressée (enfin, pas moi, le magret) par un convive en folie par l'odeur alléché !
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12 juin 2009 5 12 /06 /juin /2009 11:23
 
Je viens de découvrir hier soir ce film à la télévision :



Lors de sa sortie en salle il ya quelques années, frappée par ses décors, j'avais eu l'envie de le voir, mais n'en avais jamais eu l'occasion.

Lorsque j'ai vu sur le magazine télé qu'une chaîne le diffusait, j'ai aussitôt "réservé" la télévision pour mon usage exclusif, cherettendre ne désirant pas regarder ce film.


Et là, la projection terminée, je dois avouer que je n'ai été nullement déçue, au contraire : je n'ai pas regretté ma soirée, bercée par ce film magique, inclassable, qui raconte brièvement l'histoire d'un couple devenu famille puis détruit par des deuils successifs, et surtout le devenir de ces êtres après leur mort.



Dans ce film onirique, beaucoup de sujets sont abordés avec délicatesse, le moindre n'étant pas la vie après la mort, ou plutôt la grande question"où allons-nous ?".

Ce film tente non pas une réponse mais une suggestion de réponse dans une dimension au-delà de tout dogme religieux, tout en intégrant maintes croyances venues de toutes parts (en vrac et entre autres : le paradis et  l'enfer (intérieur), le devenir des suicidés , les NDE, les revenants, les cercles de l'enfer de Dante, le mythe d'Orphée et d'Eurydice, la réincarnation...).



Les décors  surréalistes, créés par informatique, nous projettent dans un univers impressioniste fabuleux, au sein de couleurs saturées qui déroutent.


Gràce à ce choix, ce nouveau monde ne ressemble à rien de connu et nous fait perdre nos repères pour mieux nous plonger dans cette belle histoire d'amours.



Ce film, qui pourrait paraître kitsch, est au contraire flamboyant, les décors prenant tout leurs sens au fil du récit et nous donnant justement cette sensation de décalage avec le monde réel, cette sensation d'étrangeté.

Basé entièrement sur l'amour entre membres de la même famille, il est totalement porté par Robin Williams qui laisse transparaître l'humilité de son personnage, son humanité, son effacement devant son amour pour sa femme (son âme soeur) jusqu'au sacrifice ultime.

Et contrairement à ce que l'on pourrait penser, ce n'est nullement un film sur la mort, mais sur la vie, l'amour  et l'espérance.

Un très très beau film, donc, à voir et à revoir...

Pour vous en donner une idée, je vous mets ci-dessous les différentes bandes annonces que j'ai pu glaner sur le net :





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11 juin 2009 4 11 /06 /juin /2009 12:17
Suite à une annonce lue sur un forum d'échanges sur la toile, j'ai reçu avant-hier des grains de kefir.
Je les ai reçus dans une enveloppe : déshydratés, ils ressemblent à du tapioca.



Comme la mère du vinaigre, ces grains se composent de diverses levures (entre autres kefir candida, Kluveromyces marxianus, Saccharomyces cerevisiae, S. Florentinus) vivant en symbiose avec des bactéries lactiques (telles Actobacillus Caucasicus, Streptococcus lactis,  Lactobacillus brevis, L. casei, L. kefir, L. kefiranofaciens, Lactococcus lactis, Leuconostoc streptococcus).

Mis à développer dans de l'eau additionnée de sucre et de fruits (en général citrons et figues), ils la transforment en limonade légèrement pétillante.


Enfin, transformeraient devrais-je dire, puisque je viens juste de commencer ma culture, selon les recommandations du donneur après réhydratation effectuée 24 heures dans un demi-verre d'eau (filtrée) sucrée au réfrigérateur :
J'ai ensuite  rincé les grains et les ai mis en culture hier au soir à température ambiante dans un récipient assez large (type bocal à confiture ou tup') couvert mais non fermé hermétiquement.


Pour 1 cuiller à café de grains, prévoir :

- 1 litre d'eau (de préférence minérale, pour éviter le chlore : j'ai utilisé quant à moi de l'eau filtrée et reposée),
- 50 g de sucre, si possible roux
- 1 figue sèche
- 3 rondelles de citron.
Il va sans dire que les fruits ne doivent pas être traités, ou du moins être soigneusement lavés pour enlever tous résidus de pesticides et conservateurs qui détruiraient le kefir.

Normalement, au bout de 24 heures, la boisson sera prête après filtrage à travers une passoire fine, les nouveaux grains étant minuscules (tout métal étant  interdit -je ne sais pourquoi-, il va falloir que j'investisse dans un filtre universel à café en plastique).
Produit vivant, elle continuera à fermenter : il faut donc la garder au réfrigérateur pour éviter son acidification et de préférence dans une bouteille à capsule (style canette à bière) pour préserver sa pétillance.

Ce matin, n'ayant pu résister à la tentation, j'y ai gouté : le citron donne un léger goût, le sucre ne se sent pas de trop, bref, la pétillance en moins, elle a le goût d'une légère limonade.

J'espère que le produit fini y ressemblera : vu la consommation faite de cette saloperie chimique ce soda par mes hommes, le changement ne pourra être que bénéfique pour leur santé.


Quant aux grains, il suffit de les rincer à l'eau (non chlorée) et de les remettre en culture de la même manière ou au repos au réfrigérateur dans un peu d'eau sucrée.

Normalement, ils devraient suffisamment se reproduire pour pouvoir traiter jusqu'à 3 litres par 24 heures.

Par contre, il est fortement conseillé de ne produire que le nécessaire, la boisson ne se gardant intacte que peu de temps.




Déjà connu par les Perses, ces agrégats de micro-organismes sont de 2 types suivant le milieu de culture, lait (pour donner une sorte de yaourt)  et  eau/fruits (celui que j'ai).

Le kéfir fruit se développe mieux en milieu basique (d'où l'adjonction de citrons) et utilise le sucre pour se reproduire (comme la levure de boulanger ou la mère du vinaigre  avec l'amidon du blé ou l'alcool, tous deux des polysaccharides).

Le résultat de cette transformation est un dégagement de CO2 (eau pétillante), la création d'alcool (moins de 1%, je vous rassure !)  et la multiplication de ces levures et bacilles dans le liquide, le transformant ainsi en probiotique (comme les fameux yaourts act.....  tellement vantés par la publicité).

Il est possible d'ajouter d'autres fruits (abricots sur la photo), voire des sirops pour l'aromatiser.
De même, le kéfir pourrait être utilisé comme levure dans le pain : si ça marche, je vous le dirai.

Par ailleurs, ce breuvage désaltérant possèderaient nombre de bienfaits, comme tout probiotique, notamment (évidemment) pour la digestion : je verrai bien et vous tiendrai au courant de mes impressions sur la question.

Au fait, le kéfir désigne aussi bien les grains que le produit fini.
Vivant, il se reproduira à foison s'il est gardé en de bonnes conditions : les grains surnuméraires peuvent être déshydratés, congelés et donnés pour produire de nouvelles cultures.

A bientôt !


PS : vous trouverez plus de renseignements sur le kefir sur ce site (et cliquez sur la flèche bleue en bas du texte pour passer aux pages suivantes)

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11 juin 2009 4 11 /06 /juin /2009 07:00



Vendredi dernier, passait à la télévision le fabuleux film de Yann Arthus Bertrand dont le sujet était simplement notre planète, dans toute sa splendeur.

N'ayant pu le voir (nous allions au restaurant), j'ai néanmoins prévu de l'acheter (ce dvd est en vente 5 €, une misère pour ce beau spectacle - mais vendu plus cher, je ne l'aurais acheté-).

Pour ceux qui ont un ordinateur performant (j'ai abandonné au bout de quelques minutes), il est visible jusqu'au 14 juin sur Youtube ici.


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10 juin 2009 3 10 /06 /juin /2009 21:51
Je viens de tomber amoureuse !

Oh ! Je ne parle de de faire des infidélités à Cherettendre, loin de là, au contraire !

Je viens juste de découvrir  ceci chez Rueducommerce, commerçant on line (= marchand sur internet pour les béotien(ne)s) :



Une splendeur, n'est-il pas ?
Moi qui adore mitonner de bons petits plats pour ma famille et mes amis, j'imagine déjà tout ce que je pourrais faire avec cette merveille.

En effet, elle possède 5 feux gaz et un feu vitrocéramique chauffe-plats, le rêve pour moi qui préfère le gaz (bon, il faut dire que je n'ai jamais essayé induction ni radiants, trop gourmands en énergie), économique et facilement modulable.
Ceci dit, j'ai toujours tenu à avoir en plus un feu électrique, pratique pour mijoter en sécurité ou... en cas de panne de gaz, évènement ponctuel et récurrent qui arrive toujours le week-end (voire le soir) ou lorsque un repas avec des amis est prévu.

Ici, il y a tout et plus encore...

Le feu vitro-céramique fait office de chauffe-plats
En prime, une énorme feu gaz (à triple couronne, ma chère), parfait pour les marmites en fonte ou autres poissonnières avec lesquelles je dois actuellement jongler, les posant en diagonale sur deux feux.

Elle possède également  2 fours programmables (classés énergiquement  A), et un four grill  : le top du top !

Ce piano ressemble aux cuisinières croisées dans les romans d'Anna Gavalda (La consolante) et de Candace Bushnell (4 blondes).
"Elevée" à la marque Rosières, célèbre en France pour ses cuisinières traditionnelles, j'espérais néanmoins découvrir un jour "en vrai" d'autres gammes équivalentes : je n'ai pas été déçue, loin de là !

Mais autant les cuisinières Rosières semblent maintenant s'être modernisées à l'excès, autant celle-ci me paraît avoir garder le meilleur de la cuisinière, couplé aux dernières technologies.
Réflexion faite, je préfère donc la Leisure, plus moderne et traditionnelle à la fois.

Evidemment ce bijou a un prix... pas si imposant qu'il n'y paraît, au vu du prix des plaques de cuisson et des fours..
Mais je dois avouer que je préfèrerais me priver de vacances pour pouvoir acquérir ce rêve !

D'autant plus que la réfection de notre cuisine semble être à l'ordre du jour.
Construite en même temps que notre maison et fournie (et posée) par le constructeur, ce fut notre première cuisine intégrée.
Et je reconnais que, pensant plus à l'intégration des appareils qu'à l'optimisation de la place, je me suis (très) mal débrouillée.
A ma décharge, le cuisiniste était loin d'être compétent : il s'est trompé dans les cotes (nous gratifiant au passage d'un fileur qui aurait pu être remplacé par un placard plus grand) et n'a pas été d'un grand secours, côté conseils.

Quoi qu'il en soit, j'ai la tête qui fourmille de projets, et les nouvelles cuisines intégrées sont pleines de promesses.

J'ai de quoi faire de beaux rêves éveillés, si l'insomnie me gagne !

Cet article a été publié dans le cadre du concours du blog Electroméninges consacré aux articles électro-ménagers.
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10 juin 2009 3 10 /06 /juin /2009 15:55


Eh oui, ma brave dame, le temps est complètement détraqué !

En effet nous subissons giboulées et éclaircies, trombes d'eau et grand soleil, grêle violente et bruine agaçante, sans parler des orages soudains.

Et tout cela me rend dolente cet après-midi, en attendant d'enfourcher mon nouveau coursier pour rentrer.

Fera-t-il beau ce soir à la débauche ?

Telle est la question existentielle (et importante !) que je me pose, entre deux baillements.
Mes paupières sont lourdes, et je m'endors presque, dans mon douillet  sweat-shirt, presque trop chaud en cette saison.

Parce que j'ai ressorti jean, chaussettes et baskets : hier la pluie insistante m'a refroidi les mollets en quelques instants; Grrr !!!

Seul problème : le temps étant beau ce matin, je n'ai prévu ni imperméable, ni chapeau... donc je croise les doigts en espérant ne pas prendre une douche glacée en revenant.



Et dans une quinzaine de jours, nous serons au solstice d'été... les jours raccourciront de nouveau.
Et nous ne pouvons même pas profiter des plus longues soirées de l'année !

Quoiqu'une amélioration soit prévue dans les prochains jours.

Inutile de vous dire qu'elle est attendue avec impatience par tous ceux qui, bientôt, se plaindront de la chaleur écrasante.
Quoique je ne fasse pas partie de ce nombre, car appréciant au plus haut point la chaleur estivale et ses bienfaits.
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8 juin 2009 1 08 /06 /juin /2009 17:00
J'adore faire découvrir ce "plat" qui, je dois bien l'avouer ne plaît pas à tout le monde, son odeur, plus que son goût en rebutant quelques uns.

Quoiqu'il en soit, je vous conseille d'y gouter avant de faire la grimace !

Il vous faudra, suivan tle nombre de convives, un camembert ou un coulommiers impérativement vendu dans une boite en bois (de hêtre).

Pour la première fois, je vous conseille de prendre un fromage pas trop fait, son goût sera ainsi moins fort.

Dépouillez le fromage de son film en papier plus ou moins plastifié et replacez-le dans sa bôîte en bois.

Emballez le tout hermétiquement dans 2 ou 3 couches de papier aluminium et placez-le dans les braises,
à l'endroit.
Rajoutez quelques braises sur le dessus (ou recouvrez-le s'il vous en reste assez).

Au bout d'une dizaine de minutes, vous entendrez le fromage chuinter, signe qu'il est prêt.

Retirez le avec des pinces, placez le paquet dans un plat supportant la chaleur, et ouvrez la papillotte.

Normalement, le bois aura carbonisé et la croute (plus ou moins collée au bois) sera grillée.

Découpez-la au couteau, et servez le fromage fondu à la petite cuiller sur des tartines grillées en même temps (attention ! elles grillent très vite!).

Contrairement à son odeur, très forte, son goût sera (relativement) doux au palais.

Bon appétit !
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7 juin 2009 7 07 /06 /juin /2009 08:15
Même si nous nous sentons peu concernés par cet hommage, n'oublions pas le sacrifice de tous ces jeunes hommes venus nous libérer il y a 60 ans et qui débarquèrent sur la plage après un long voyage.





















Même si nous n'étions pas nés, il sont permis à nos parents de vivre, de se rencontrer, de nous donner vie.
Où serions-nous s'ils n'étaient pas venus ?



Si les Ricains n'étaient pas là
Vous seriez tous en Germanie
A parler de je ne sais quoi,
A saluer je ne sais qui.

Bien sûr les années ont passé.
Les fusils ont changé de mains.
Est-ce une raison pour oublier

Qu'un jour on en a eu besoin ?

Un gars venu de Géorgie
Qui se foutait pas mal de toi
Est v'nu mourir en Normandie,
Un matin où tu n'y étais pas.

Bien sûr les années ont passé.
On est devenus des copains.
A l'amicale du fusillé,
On dit qu'ils sont tombés pour rien.

Si les Ricains n'
étaient pas là
Vous seriez tous
en Germanie
A parler de je ne sais quoi,
A saluer je ne sais qui.

Les Ricains - Michel Sardou




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