Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Me Contacter

  • : The Cybione
  • : Le vie est belle ! Chroniques de la vie qui passe...
  • Contact

Fréquentation

Il y a actuellement    personne(s) sur ce blog 

Locations of visitors to this page


  Il y a eu visiteurs depuis sa création.

 



Rechercher

Texte Libre

Archives

2 mars 2011 3 02 /03 /mars /2011 07:46

4190109229_8cbc392798.jpgphotographie provenant de FlickR

 

Me revoici, recommencant à marcher de mieux en mieux grace aux ultra-sons appliqués par mon kiné.

 

Il était temps, après 3 mois passés sans marche ni aucun autre sport, à cause de cette fichue bursite au talon d'achille.

 

Autre bonne nouvelle : j'ai enfin remisé mes sabots et autres crocs, moches mais confortables, pour recommencer à mettre des chaussures, ou plutôt des bottes : pas question d'avoir le moindre frottement à l'endroit sensible.

 

J'ai également recommencé à pratiquer un peu de billard... et me  retrouve maintenant avec ce qui me fait fâcheusement penser à une tendinite (ou bursite, encore) du poignet droit !

 

Hier matin, je m'étais réveillée avec une légère douleur au poignet. Il faut dire que je dors en ce moment plutôt recroquevillée sur moi-même. Réflexe ed protection ? Possible au vu des nouvelles.

Hier soir, reprise de cours de billard avec cherettendre ; mon poignet se rappelait de plus en plus à mon souvenir, mais avec une douleur gérable.

Au moment de me coucher, la douleur avait empiré : patch d'anti-inflammatoire et bandage pour m'immobiliser le poignet (pour m'éviter de me le re-tordre en dormant).

Ce matin : léger mieux, amélioré encore par le "traitement miracle" de cherettendre.

 

Je vais attendre pour voir ce qu'il en sera demain, sinon direction toubib !

 

En espérant que je n'ai pas un problème plus général touchant les articulations...

 

 

En attendant, il est vrai que je suis soucieuse en ce moment : il y a de graaaannnndes probabilités pour que la structure qui m'emploie ferme  pour la rentrée 2012 et que je me retrouve dans le grand bain des mutations.

 

Et même si je me dis "je suis toujours au bon endroit au bon moment", cette nouvelle n'est pas sans me créer quelques angoisses.

 

Et cela me conforte dans le fait que je dois lâcher prise, me laisser emporter dans le flux de la vie qui me régénèrera.

 

Reste à y arriver...

Partager cet article
Repost0
1 mars 2011 2 01 /03 /mars /2011 11:25

5344382482_ceefcdc0d4.jpgillustration trouvée sur FlickR

 

Dimanche, nous avons fêté avec des amis l'anniversaire de Cherettendre, qui m'avait demandé un cassoulet.

 

Celui étant, ma foi, fort réussi, je vous en poste la recette.

 

Pour une dizaine de personnes, il vous faut :

- 1kg (au moins) de haricots secs lingots (ou coco)

- 1 saucisse de morteau

- 1 kg de palette demi-sel

- 1 kg de poitrine fumée coupée en 10 morceaux

- 10 tranches de saucisson à l'ail

- 10 saucisses de toulouse

- 1 boîte de 4/5 cuisse de canard confites

- 1 petite boite de concentré de tomates

- 2 oignons

- 3 gousses d'ail

- thym et laurier.

 

La veille, faire tremper dans un très grand saladier les haricots, qui gonfleront énormément.

 

Commencer la préparation 5-6 heures avant le repas.

 

Dessaler la palette en la trempant dans de l'eau chaude.

Egoutter et rincer les haricots, les faire cuire  pendant 1 heure (ou 20 mn à la cocotte minute) avec thym, laurier et 1 oignon coupé en 4.

Surtout, commencer la cuisson à l'eau froide et ne pas saler, sinon ils resteront durs et indigestes.

 

Dans une poële, faire dorer à sec ou dans un peu de graisse de canard les saucisses (penser à les piquer pour évacuer la graisse), puis les rondelles de saucisson.

Réserver, jeter le gras,  puis faire dorer l'oignon et l'ail hachés. Réserver.

Terminer avec les cuisses en les faisant rendre leur graisse (à jeter) et dorer . Enlever peau et os, émiettez très grossièrement et réserver.

 

Pendant ce temps, faire pré-cuire la palette, la saucisse de morteau piquée et la poitrine une bonne 1/2 heure dans de l'eau.

 

Préparer un très grand plat haut allant au four en le frottant avec une gousse d'ail (puis en le graissant s'il est en métal ou en fonte).

 

Egoutter toutes les viandes et les disposer au fond du plat. Répartir dessus les haricots récupérés avec une écumoire.

Mélanger 4 louches de l'eau de cuisson des haricots avec la tomate et le hachis d'oignons, puis versez sur le plat, en complétant éventuellement avec le reste : les haricots doivent être entièrement recouverts.

 

Saupoudrer de chapelure (après avoir haché les oignons, j'ai passé à la moulinette un reste de pain dur : chapelure parfumée et moulinettte nettoyée !) et enfourner pour au moins 1h30 à 120°.

Le plat peut facilement attendre 1 heure de plus, à  110°.

 

Théoriquement, il faut casser 2 fois la croute faite par la chapelure au cours de la cuisson, mais je n'avais pas mis assez de jus, et celle-ci n'a pas crouté.

 

Attention : le mélange ne doit pas arriver au bord du plat car il va bouillir et risque de passer par dessus.

Il vaut mieux prévoir dans ce cas plusieurs plats.

Inutile de saler : le sel résiduel des viandes suffit.

 

Cuit comme cela, le plat est très digeste, et les haricots ne vous feront pas souffrir, promis !

 

Bon appétit !

Partager cet article
Repost0
28 février 2011 1 28 /02 /février /2011 16:41

afghan-girl.jpg

 

Sharbat Gula a été photographiée alors qu'elle avait 12 ans par le photographe Steve McCurry, en Juin 1984. 

Il était dans le camp des réfugiés de Nasir Bagh au Pakistan pendant la guerre contre l'invasion soviétique. 

Son portrait a été présenté sur la couverture du National Geographic en juin 1985 à cause de son visage expressif aux yeux verts.

La couverture est devenue l'un des plus célèbres de la revue. Cependant, à cette époque personne ne connaissait le nom de la jeune fille. 

 

Le même photographe, Steve McCurry partit à la recherche de la jeune fille pendant 17 ans. Le photographe fit de nombreux voyages dans la région jusqu'à ce qu’en janvier 2002, il retrouve la fillette devenue une femme de 30 ans.


Sharbat Gula vit dans un village isolé en Afghanistan, en pachtou : c’est une femme traditionnelle, mariée et mère de trois enfants. 

Elle était revenue en Afghanistan en 1992. 

 

Personne ne l’avait photographiée jusqu'à sa rencontre avec McCurry et ne savait pas que son visage était devenu célèbre. 

 

L’identité de la femme a été confirmé à 99,9% grâce à la technologie de reconnaissance faciale du FBI et à la comparaison de l'iris des deux visages photographiés.

 

 

Ce portrait fut pour moi un double choc :


Le premier, celui de la beauté du visage parfait de cette toute jeune fille  photographiée dans un dénuement total, dans un camp de réfugiés afghan.

 

Le second, que j'ai pris en pleine face, fut celui de la redécouverte de cette femme, 17 ans plus tard.

Agée de 30 ans seulement, elle est marquée par la vie dure qu'elle mène, bien loin de notre confort.

Sa beauté s'est envolée, son visage s'est durci, fermé ; son côté sauvage a été domestiqué sous un hijab, mais elle a toujours ce regard fier qui nous scrute.

Elle est aux antipodes de nous autres, femmes "civilisées" pour lesquelles l'apparence passe avant tout.

 

 

Partager cet article
Repost0
18 février 2011 5 18 /02 /février /2011 09:41

photo.jpg

 

Voilà presque 2 mois que je fais plus ou moins la grève du blog.

 

Certes, j'aurais eu des choses à dire, mais l'énergie me manquait.

Arrêt de travail, examens divers, la réponse se trouvait dans le syndrome de dépression saisonnière : une baisse importante de mon taux de vitamine D (moins de la moitié du taux minimal dans mon sang) générant fatigue extrème, sans parler des baisses de tension qui me faisaient me sentir épuisée.

 

A tel point que mon médecin se demandait si une dépression, vraie celle-là,n'était pas en train de pointer son vilain nez : je me sentais constamment fatiguée, surtout le matin, avec une incapacité chronique à me lever, symptôme typique de cette maladie.

 

En réalité, le temps gris de cet hiver ajouté à mon manque d'exercice depuis 2 mois m'avait empêchée de synthétiser cette fichue vitamine.

 

D'ailleurs, vous voyez ci-dessus le genre de panorama que j'ai sous les yeux à mon travail en cette journée de grisaille et de brouillard.

 

Ah oui ! je m'étais également fait un début de tendinite (une bursite) au talon d'achille.

Bien que bénigne, cette inflammation m'avait obligée à arrêter toute activité un tant soit peu sportive nécessitant de solliciter la cheville : marche, country, musculation et billard.

 

Résultat : mauvaise humeur et prise de poids.

 

 

Enfin, après une supplémentation (comme les bébés), me revoici théoriquement de nouveau en forme.

de plus, j'ai investi dans une lampe de luminothérapie, censée m'aider à faire face à la déprime passagère hivernale.

 

Sinon, ma bursite se résorbe, aidée en cela par les soins aux ultra-sons que me prodigue mon kinésithérapeute "à l'ancienne" : il s'occupe de moi (enfin de mon talon) pendant 1/2 heure, alternant massages et ultra-sons, seule technique capable de me soigner.

J'ai enfin abandonner pu la paire de sabotsque je traînais depuis plusieurs mois, seule paire de chaussures recommandée : des talons, pour soulager le tendon, et pas de contrefort arrière qui frotte.

Inutile de vous dire que je commencais à en avoir marre, surtout avec tous les trésors qui dormaient dans mon armoire !

 

Ceci dit, toujours pas question d'escarpins : il ne manquerait plus que je m e torde la cheville, déjà fragilisée, le risque de rupture du tendon d'achille etant toujours présente dans ce genre de cas.

 

Et je commence à reprendre le billard dont les postures, mine de rien, étiraient mon tendon... et relançaient l'inflammation.

Et je me suis rendue compte que je n'avais guère perdu (du peu que j'arrivais à faire). Bon, pas encore de compétition, mais une reprise progressive des entreaînements est prévue.

 

Sans parler de la muscu que je vais reprendre peu à peu, me concnetrant sur la partie supérieure (et surtout stomacale !) de mon corps... je vais enfin pouvoir libérer mon adrénaline !

A bientôt, alors !

Partager cet article
Repost0
27 janvier 2011 4 27 /01 /janvier /2011 13:05

 

 omayra.jpg 

 

Omayra Sanchez était une petite fille lors de l'éruption du volcan Nevado del Ruiz qui a détruit la ville d'Armero, en Colombie en 1985.Omayra fut coincée trois jours dans la boue, l'eau et les débris de sa propre maison. 

Elle avait 13 ans et pendant tout ce temps elle était toujours bloquée sur les corps de ses proches. 

Lorsque les sauveteurs tentèrent de l’'aider, ils ont constaté que c'était impossible, Afin de la sauver il aurait fallu amputer ses jambes mais cette chirurgie n’eut pas lieu. L'autre option était d’utiliser une pompe-turbine pour aspirer la boue qui l’a submergeait. La seule pompe disponible était trop loin et non disponible. 

 

Omayra a été forte jusqu'au dernier moment de sa vie, selon les travailleurs humanitaires et des journalistes qui l'entouraient. Pendant les trois jours, elle pensait justement à son retour aux études et à ses examens. 

 

La photographe Frank Fournier, « Omayra » a fait une image qui a fait le tour du monde et qui a conduit à une controverse sur l'indifférence du gouvernement colombien envers les victimes. La photographie a été publiée plusieurs mois après que la jeune fille fut morte.

 

Plusieurs ont vu dans ce tableau de 1985, le début de ce que nous appelons aujourd'hui la mondialisation de l’agonie. Celle-ci a été suivie en direct par les caméras de télévision et de radiodiffusion dans le monde entier.

 

Personnelllement, j'ai hésité avant de publier cette photo qui, à mes yeux, représente le comble de la télé-réalité : donner en pâture aux téléspectateurs qui s'en ravissent, l'agonie d'une petite fille.

Si au moins, elle permettait aux media de se remettre en cause !

Où s'arrête le droit d'informer et où commence le voyeurisme ?

Pour moi, on est en plein dedans.

Malheureusement.

Partager cet article
Repost0
26 janvier 2011 3 26 /01 /janvier /2011 12:58

 

che.jpg

 

Photo nommée « héros de guerilla » dans lequel apparaît un visage avec un béret noir regardant au loin, prise par Alberto Korda le 5 Mars 1960.


Guevara âgé de 31 ans était à un enterrement pour les victimes de l'explosion de la Coubre. Elle n’a été publiée que sept ans plus tard. L'Institute off Art du Maryland (USA) l’a surnommé "la photo la plus célèbre et l’icône graphique du monde du XXème siècle."


C'est une photographie qui a été reproduite à plusieurs reprises dans le monde et qui est considérée comme l'un des dix plus grands portraits de tous les temps.

Il est un symbole universel de la rébellion pour les principales tendances politiques.

 

Il est vrai que j'ai toujours connu cette photo, affichée dans les chambres d'adolescents de mes copains et copines.

Sans que nous connaîssions vraiment son histoire, le Che était à nos yeux le symbole du héros révolutionnaire, mort (jeune) pour ses convictions.

Partager cet article
Repost0
26 janvier 2011 3 26 /01 /janvier /2011 12:55

Je viens de recevoir d'un ami un diaporama recensant les 13 photographies mythiques du dernier siècle.

 

Ne sachant qui l'a créé, je ne peux citer ici l'auteur des commentaires, mais nombre de ces tirages sont mondialement connues, certains ayant reçu le prestigiieux prix Pulitzer.

Je lse connaissaîs pratiquement toutes (hormis les plus anciennes), et elles m'ont fait resurgir des souvenirs, souvent terribles, car témoignages de la férocité humaine, mais aussi de la compassion, clichés montrant ce que l'homme peut avoir de meilleur, comme de pire.

 

Voici leur liste, qui sera mise à jour au fur et à mesure de leur parution.

 

 1 - le Che

 2 - l'agonie d'Omayra

 3 - l'afghane aux yeux clairs

 4 - le rebelle inconnu

 5 -

 6 -

 7 -

 8 -

 9 -

10 -

11 -

12 -

13 -

Partager cet article
Repost0
11 janvier 2011 2 11 /01 /janvier /2011 14:18

4457580043_44f7f60ee6.jpgIllustration trouvée sur Fickr

 

Comme je vous l'écrivais hier, j'ai revisité la recette du tiramisu dégusté au Caribou Café.

 

Faite au siphon (tiens, j'en ai justement un, qu'il faut que j'utilise, mon premier essai n'ayant pas été concluant !), c'es tune merveille de légèreté et de sensations :

- le croquant des biscuits

- l'onctuosité légère de la mousse

- le sucré du sirop...

 

Bref, que du bonheur !

 

Et comme par hasard, quelques jours auparavant, j'avais lu sur l'un des blogs cuisine que je fréquente régulièrement (désolé, je n'ai pu retrouver lequel) une recette de tiramisu que j'avais gardé dans un recoin de ma mémoire.

 

 

Donc, essai début décembre : j'ai vérifié sur Marmiton les quantités et me voilà lancée !

Le résultat était  tellement apprécié que j'ai eu pour consigne d'en refaire lorsque ma fille est venue déjeuner.

 

Pour 4 personnes, il vous faut :

- 250 g de mascarpone (1 boite)

- 250 g de crème entière (1 brique)

- 3 jaunes d'oeufs

- 1 bouteille de sirop d'érable (100g pour la mousse

- 1 paquet de spéculoos

et évidemment 1 siphon d'1/2 litre (et sa cartouche de gaz).

 

Si possible, mettre la veille tous les ingrédients (et surtout le siphon !) dans le réfrigérateur.

 

Au fouet, mélanger le mascarpone, les jaunes d'oeuf,  la crème et 100g (1/2 bouteille) de sirop d'érable jusqu'à obtenir un appareil bien lisse.

 

Il faut par contre absolument le passer au chinois avant de le mettre dans le siphon (j'installe ma passoire dans un entonnoir fiché dans l'ouverture du siphon).

 

Fermer le siphon, mettre sous pression avec une cartouche de gaz, bien remuer et faire refroidir au moins une heure.

 

Au moment de servir, dresser dans des verrines ou des coupelles :

Mettre dans le fonds 3/4 speculoos grossièrement concassés aux doigts, puis 1 CS de sirop d'érable, puis la mousse.

Décorer avec quelques miettes de speculoos et un peu de sirop.

 

Bon appétit !

 

 

Cette base vaut pour d'autres tiramisus : il suffit de changer l'érable par 100g de sucre, et de changer les biscuits du fond : boudoirs imbibés de café pour un tiramisu classique, fruits frais ou au sirop... les choix sont infinis !

Partager cet article
Repost0
10 janvier 2011 1 10 /01 /janvier /2011 12:08

caribou--.jpg

 

Il y a quelque temps, cherettendre m'a invité dans un charmant petit restaurant de Poitiers :

Le Caribou.

 

 

Je ne peux que vous le conseiller : sa déco "cabane à sucre" va de pair avec une cuisine "d'là-bas" (avec l'accent), simple et gouteuse, à base de produits importés.

Vous y trouverez pléthore de sirop d'érable, canneberges (ou cranberries ou bleuets).

Ceci dit, il y a également des plats plus classiques pour ceux que le mélange sucré-salé ou les nouveaux goûts rebutent.

 

caribou-decor1.jpg

Les murs en bois brut sont décorés de photos, raquettes et autres souvenirs typiques du Canada : dépaysement assuré !

 

 

 

caribou-ours.jpg

 Un gros ours (ici chapeauté et emmitouflé par un convive facétieux) vous accueille à l'étage, clair et aéré.

 

 

 

  caribou-bar-decor.jpg

 

Sa carte est agréable et propose de nombreux plats : salades, grillades, plats mijotés, et même hamburgers maison, qui n'ont rien à voir question qualité ou quantité avec ceux des chaînes de fast-food !.

 

Bon à savoir : ses salades sont pantagruéliques, et elles suffisent largement à se rassasier, le dessert restant optionnel.

Heureusement, elles sont maintenant déclinées en "demi-portions", idéales pour une entrée.

 

caribou-cassolette.jpgCette fois, j'avais choisi une salade composée (pommes de terre rôties -sans gras-, salade, oeuf sur le plat, lardons, vinaigrette à l'érable) et un filet mignon sauce érable , alors que cherettendre avait craqué pour une terrine puis une cassolette de bison (en photo).

Tous les plats sont servis avec un coleslaw et une assiettée de pommes de terre cuites à l'étouffée.

 

Et en dessert : un tiramisu à l'érable (que je me suis empressée de réinterpréter à la maison sitôt rentrée) : un délice de légèreté, bien loin du côté souvent écoeurant des tiramisus classiques.

Servi au siphon sur des spéculoos, ce fut le point d'orgue de ce délicieux repas.

 

 

Je regrette quant à moi qu'il ne fasse pas de café gourmand, présentant l'éventail des desserts maisons, qui sont copieux, jugez-en par vous-même :

 

caribou-carte-desserts-copie-1.jpg

 

bieres canada

 

Bonus appréciable pour les amateurs, ce restaurant a une carte de bières délicieuses, canadiennes, évidemment,  allant de la blonde à des brunes sur lie que, personnellement, je préfère (même s'il y a presque autant à manger qu'à boire avec ces dernières).

 

Leurs noms sont un enchantement : Eau bénite, Maudite, Don de Dieu, Trois pistoles...

 

Et elles ont du caractère, les bougresses !

Par contre, je ne les apprécie guère en plein hiver, alors qu'il neige dehors : un vin chaud serait nettement plus apprécié !

 

Bref, un repas parfait pour une journée de shopping pré-Noël parfaite !

Partager cet article
Repost0
7 janvier 2011 5 07 /01 /janvier /2011 19:05

Un ami vient de m'envoyer cette vidéo et même si je ne cautionne pas les écarts de Georges Frech, ici, je ne peux qu'être tout à fait d'accord avec lui.

 

Je vous conseille de regarder jusqu'au bout cette vidéo, qui est un exemple de ce que la République et ses habitant devraient dire, faire, être...  le tout sans racisme,  ni xénophobie.

 

 

 

Ici, l'orateur nous donne une leçon de religions comparées, d'histoire, remet les traditions à leur juste place, et dit ce que je pense de l'intégrisme, de TOUS les intégrismes religieux :

 

"le monde sera heureux quand on pendra le dernier intégriste juif et le dernier intégriste musulman avec les tripes des deux derniers intégristes catholique et protestant"

(partant du postulat que tous les autres intégristes auront été éradiqués auparavant).

Partager cet article
Repost0