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26 février 2008 2 26 /02 /février /2008 21:04
M'intéressant au plus haut point à tout ce qui est scientifique, je suis fort étonnée du silence qui a accompagné l'évolution de la station spatiale internationale (SSI de son petit nom).

Initiée en 1984, elle a commencé à être construite en 1998 et est habitée depuis 2000 sans interruption.

Voici donc une prouesse scientifique et technologique... dont nous entendons parler très épisodiquement.

Pourtant, depuis plus de 10 ans, sa construction se fait au-dessus de nos têtes, mobilisant plusieurs pays et d'énormes moyens.
Nous sommes loin de l'ère Apollo et de sa médiatisation acharnée.

De même que de Biosphère 2, expérimentation destinée à reproduire en vase clos l'écosystème de la terre (biosphère 1) depuis 1990, et qui avait fait les gros titres à cette époque.
Cette expérience pressentait la colonisation de Mars et la re-création de notre écologie sur un monde stérile.
En faisant des recherches pour cet article, je fus fort surprise d'apprendre que ce projet était toujours opérationnel, et avait continué pour atteindre une reconstitution de milieux naturels divers (marais, désert, océan, forêt, steppe...) permettant de mieux apppréhendre les interactions gouvernant noter climat.

Donc nous voici maintenant aux premières places pour suivre les prémisses de notre exploration spatiale, et personne n'en parle : cela etant nettement moins intéressant que les bêtises actuellement dévidées par nos média.

A quand la poursuite de ce programme avec le premier vol ver Mars habité ?

On l'évique d'ailleurs déjà dans les milieux spécialisés.
Evidemment, la technologie n'est pas encore au point, mais elle progresse ...

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25 février 2008 1 25 /02 /février /2008 20:56
Ou plutôt où commence la télé trash ?

Je suis horrifiée par la publicité que je viens de voir sur une chaîne nationale, vantant les mérites d'une nouvelle émission mixant dépaysement, voyage, exotisme et... handicap.

Nouvelle mouture de Pekin express (je peux me tromper de titre, ne goûtant guère ce type de télévision), cette émission vante le fait que les  participants qui se dépassent en direct dans une contrée lointaine ont tous un point commun : un handicap, avec images en gros plan de béquilles et fauteuil roulant.

Attention : je suis admirative devant les exploits physique et mental accomplis.

Et oui, je regarderais avec plaisir ces exploits épreuve s'il s'agissait d'un reportage ou d'un documentaire, saluant l'exploit accompli et le courage de ces personnes.

Mais je suis fortement génée, pour ne pas dire plus, par la présentation choisie.

Et je ne doute pas qu'une compétition sera crééepour attribuer un prix quelconque au premier arrivé, voire pire.
Quoique, étant données le style d'épreuve (des images d'un handicapé en fauteuil roulant montant un sentier fortement pentu), jene soute pas que la sélection s'opère d'elel-même.

Et quid de la manipulation ou de la participation volontaire de ces compétiteurs ?

Montrer que l'on est capable de se dépasser dans les situations les plus extrèmes est louable, mais se donner en pature à des téléspectateurs vautrés dans leur fauteuil et faisant des paris est désolant.

Quant aux producteurs décidés à jouer la carte du pathos pour appâter le téléspectateur lambda, je leur tire mon chapeau : quelle imagination ! 

A quand la course dse culs-de-jatte et des aveugles ?

Il est vrai qu'après :
- le cocufiage organisé en direct (l'île de la tentation)
- la foire à la viande, où chacun cherche à se vendre à n'importe quel prix (le loft)
- la foire à la volaille où un coq (ou une poule) se pare des plumes du paon (pasd de la paone, elle est trop grise) parade devant des prétendant'e)s (bachelor)
- la foire aux nunuches où de prétendues stars (blondes et américaines) fréquentant la jet-set se commettent avec des gens "normaux" pour mieux les ridiculiser et s'en moquer (the simple life)
- la foire aux bestiaux où les bêtes ne sont pas celles que l'on croit (la ferme célébrités)
- la parodie des parades d'amours post-adolescentes, faisant passer les jeunes pour des obsédés secuels (bon, ils le sont, c'est normal, mais pas à ce point-là !) se glorifiant de leurs rots, pets et autres manifestations scatoligiques (Next)
- l'exposition au vu de tous des cultures de moissisures, bactéries et autres saletés dans son frigo et son appart' (je ne me rappelle plus du nom de cette émission mettant en scène deux misses propre - que j'aimerais bien inviter chez moi, d'ailleurs, bien que jenrisque jamais d'être sélectionnée, le niveau de mes salissures domestiques étant pratiquement nul, vu les critères retenus)
- la manière d'élever des gamins... mal élevés (super nounou ?)
- celle d'échanger mari et enfants pour voir si l'herbe n'est pas plus verte aillleurs, cautionné par sainte télé (on a échangé... quoi au juste ? nos maris ? nos mamans ? notre vie ?).
- et le winner toutes catégories : la présentation à sa famille d'un fiancé aussi trash que la télé du même nom, monument de vulgarité et de bêtise !
et toutes les autres émissions de trash-télévision, il était dur de trouver quelque chose d'innovant.

Mais ne desespérez pas ! 
L'imagination des producteurs est sans limite, et la demande des téléspectateurs (enfin certains, ceux qui font l'audimat) également.

Certes, vous me direz, pour quelqu'un qui n'aime pas ce genre d'émission, je les connaîs bien.
Ou plutôt, je commence à les regarder, une fois, et peu de temps avant de changer de chaîne ou de plonger dans une lecture... plus intéressante.

Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes.
Panem et circanses n'a jamais été autant d'actualité.





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25 février 2008 1 25 /02 /février /2008 11:01
Eh oui, il s'agit de l'un de mes (nombreux) défauts, mais comment ne pas l'être lorsque l'on  visite des sites tels que ceux de Sylvaine/Laura ou Mayeul ?


Comment font-elles, ces demoiselles,  pour avoir un intérieur si joli, raffiné, soigné, tout en travaillant, cuisinant, faisant des ouvrages de dames et que sais-je encore ?

A côté d'elles, je me sens nulle.


Chez moi, le mobilier est fait de bric et de broc, mélange de chine (un peu),  de récupération familiale (non pas des meubles de famille, racés et élégants, mais des meubles "modernes" sans aucun style défini)  et d'achats coup de coeur.

J'aime mon  chez moi,  reconnais que la décoration y est perfectible, mais ne prend pas le temps de faire quoi que ce soit.
Ou plutôt, je ne trouve guère d'inspiration facile à mettre en oeuvre : il faudrait que je retrousse mes manches, plonge dans dvers ouvrages et fasse le nécessaire.

Mais quel entretien, ensuite !
Alors que j'ai déjà du mal à garder propre, sans poussière (insert et animaux à quatre et deux pattes obligent) ni moutons (vive la mue des chats et chien ) mes quelques meubles, je n'ose imaginer l'entretien de tentures (en plus, je suis allergique aux acariens), le dépoussiérage de lustres et autres bois sculptés et dorés.

Mais que c'est joli, pourtant, .... mais chez les autres.

Bravo, les filles, et continuez à me faire envie avec toutes vos jolies réalisations.





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22 février 2008 5 22 /02 /février /2008 14:05
Voilà ce que j'essaie d'être, en toute modestie et à mon petit niveau, au quotidien comme dans ce blog.

Mais je ne le suis pas toujours.
Car, eh oui, je suis comme vous, avec mes défauts, mon sale caractère et mes problèmes.

Non, je ne suis pas tous les jours l'éternelle optismiste, toujours de bonne humeur et ne regardant que le bon côté des choses,  que je semble être sur mon blog, mais je n'estime pas non plus nécessaire de vous faire partager mes tracas de chaque jour.
Vous les vivez vous-même au quotidien.

Je suis simplement un fille (enfin, une femme) normale, de tempérament plutôt flegmatique, bien que je démarre vite, chose dont abusent famille et amis.

Bonne cuisinière, je déteste rangement et ménage.

J'aime le jardinage, mais il faut me pousser pour que je m'y mette, comme pour beaucoup de choses, d'ailleurs.

Ma (notre) maison est pleine de vie, d'animaux, toujours ouverte aux amis... et toujours en désordre.
Oh ! Ce n'est pas une maison de catalogue, où tout est splendide, rangé : il traîne toujours des livres, des vêtements, des papiers.... ce qui fait un peu mon désespoir (et surtout celui ce Cher et tendre) : le rangement ne dure chez nous guère plus de quelques heures au maximum.

Voilà, vous me connaissez maintenant un peu mieux.
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20 février 2008 3 20 /02 /février /2008 12:05
En ce moment : je suis en train de cuisiner pour mon cheptel (réduit)  une sauce aux lumas.

Notre jardin (1000m2) n'étant pas traité, cher et tendre ramasse detemps en temps des lumas qu'il donne à un ami qui les prépare (dégorgage et cuisson au court-bouillon).

Et là, je viens de récupérer (sur ma demande expresse) un sac de cagouilles congelés, prêts à cuisiner à la sauce poitevine.

La sauce aux lumas, contrairement à ce que le titre laisse entendre n'est pas une sauce, mais un plat complet, originellement de pauvres, à base produits trouvables dans le jardin ou la nature.

Et comme vous me connaissez, je l'ai adapté à ma sauce.

Il faut donc pour un sac d'escargots cuits (600g) :
- environ 500g de porc haché (j'ai pris 4 steacks hachés de porc -que je ne recommande pas : ils sont dég... à mon gpût)
- 6 oignons moyens
- des échalottes
- 4 carottes
- 1 tête d'ail
- du pain dur ou de la chapelure
- 1/2 bouteille de vin blanc sec


Faire revenir dans une grande sauteuse ou un cocotte les oignons et échalottes hâchés et les carottes coupées en fine julienne avec de l'huile d'olive.
Un truc : je commence la cuisson avec 2 verres d'eau, ce qui fait cuire plus vite la préparation.

Pendant ce temps, faire revir à sec la viande hachée dans une poële.

Quand le mélange blondit, y ajouter la viande, l'ail dégermé et haché, du thym, une pincée de piment d'espelette, sel et poivre.

Mouillez avec le vin et laisser cuire 1/4 à 1/2 heure.

Au moment de servir, rajouter de la chapelure pour donner au mélange un aspect de crumble.

Servir avec des pommes de terres en morceaux (on peut les rajouter au mélange avant de servir.

Ce plat , bien que diététique sans les PdT, est assez lourd à digérer : à conseiller plutôt le midi. 

Bon appétit !




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15 février 2008 5 15 /02 /février /2008 12:35

Il y a peu, mon regard fut attiré un matin par de multiples scintillements dans l'herbe : des araignées avaient tissé leurs toiles dans l'herbe haute, et elles ondoyaient, pleines de rosée, dans la lumière matinale.

Elles étaient tellement nombreuses qu'elles faisaient comme un filet de lumière immatériel.


Réseau scintillant

Filet ondoyant dans l'herbe

Toiles d'araignées

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15 février 2008 5 15 /02 /février /2008 10:53
Hier fait partie de ces journées pleines de grâce.

J'avais décidé de la consacrer uniquement à Cher et tendre, avec déplacement dans notre grande ville locale, promenade dans les différents garages et repas-surprise dans un restaurant canadien réservé par mes soins.

La journée fut belle, la promenade agréable, le restaurant délicieux, et nous nous en retournâmes, accompagnés de la sensation d'avoir passé une journée hors du temps, car parfaite.

Cela tient à peu de choses : le désir de faire passer l'autre en premier, le refus de s'arréter à de petites contrariétés (pieds gelés et angine pour moi), la sensation de détente, de prendre son temps, de baguenauder le nez au vent.
 
Bref, de se retrouver à deux, insouciants comme aux premiers temps...

Car il est vrai qu'en vieillissant (et ce n'est pas une question d'âge, mais de comportement) nous laissons les impondérables avoir trop de prise sur notre vie, et envolés les plaisirs d'aimer et d'être ensemble,  de vivre, tout  simplement.

En notre monde moderne, accompagnés de notre "sagesse" chèrement acquise car au prix d'expériences souvent désagréables, nous ne nous attendons plus qu'au pire, refusant de voir le contenu de  la coupe à moitié pleine pour ne plus considérer que ce qu'il y manque.

Ainsi va notre vie, maintenant : nous ne pensons plus "quelle belle matinée d'hiver" mais "zut, le pare-brise est encore gelé" et tutti quanti.

Heureusement que ces journées parfaites existent encore pour nous rappeller à ce que nous étions quelques années auparavant, à ce regard volontairement ébloui par le miracle de la vie et de l'amour, quand tout était encore en devenir, à découvrir.

Mais tout le reste (hormis ce que nous avons déjà vécu, une goutte d'eau dans l'océan de la vie) est encore à découvrir, et à savourer.

Arrêtons de replier notre univers sur notre petite personne plus ou moins dolente et apitoyée, et retrouvons notre âme d'enfant, ou plutôt de jeune adulte, emporté par le tourbillon de la passion.

Alors, ouvrons tout grands nos yeux, notre coeur et notre sourire et, au lieu de devenir comme ces adultes grogons et râleurs qui nous entourent et nous étouffent, nous resterons toujours ces jeunes -de tout age- prêts à décroisser la lune (devinez ce que j'écoute en ce moment ?) et à attaquer la vie à belles dents !

Je reprends à mon compte la devise des scouts : "Toujours prêts "
en y rajoutant "à profiter de la vie et à vivre de nouvelles expériences".

Bonne journée.



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8 février 2008 5 08 /02 /février /2008 14:12
Je suis, telle que je vous parle, en train d'en subir une , à peine  atténuée par un comprimé d'ad..l  (d'habitude, j'en gobe deux et me calfeutre dans le noir, mais là,  un seul malheureux se promenait dans mon sac).


Quand je pense qu'il s'agit d'un cliché éculé concernant les dames refusant le devoir conjugal ; il faudrait que les messieurs qui osent le déclamer aient en retour une crise de cette affection qui, si elle est passagère, n'en est pas moins douloureuse et débilitante au possible.

Cela commence - chez moi - par un gros poids sur l'estomac, la sensation que la digestion est compromise.

Puis, enfin, vient cette douleur sourde qui m'enserre les tempes, accompagnée par une légère sensation nauséeuse qui ira en s'accentuant au fil des heures jusqu'à arriver à LA crise : battements sourds dans le crâne accentués par le plus petit bruit,  estomac qui danse la gigue de haut en bas, nausées induites par la moindre odeur (bonne ou mauvaise).

Dans ce cas, une seule solution : le repli immédiat au calme, dans le noir, après l'absorption des cachets magiques et une bonne sieste dont je ressortirai soulagée, les syptômes -en principe- partis.


Et encore, je m'estime chanceuse face à ces compagnes d'infortune (car ce sont les femmes les plus atteintes par la migraine) obligées de rester des jours allongées, quelquefois chaque mois (migraines cataméniales générées a priori  par le changement de dosage des oestrogènes).

Cher et tendre se moquait autrefois gentiment de moi, ne comprenant pas comment un "mal de tête" pouvait autant faire souffrir et rendre patraque.... jusqu'à ce qu'il en subisse une.

Depuis ce jour, son regard a changé et il est aux petits soins pour moi quand il me voit dans cet état.

Las ! Je suis toute seule aujourd'hui, face à mes dossiers et à mon ordinateur, l'estomac bringuebalant et la rête dans du coton.

Et je m'en vais de ce pas prendre une tasse de café fort qui -paraît-il - devrait me soulager quelque peu.



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7 février 2008 4 07 /02 /février /2008 13:42
En l'honneur de l'amourversaire de mon homme  qui fête  son demi-siècle,  dont plus de la moitié passée ensemble.


Quel chemin parcouru à deux (avec l'espoir d'en refaire au moins autant) !


Les périodes heureuses se sont succédées, les mauvais moments aussi, souvent très durs à passer.
Nous avons ensemble déménagé plusieurs fois, refait notre vie en repartant de zéro, ou presque, fait et élevés (le dernier s'essaie à déployer ses ailes) deux beaux enfants (plus 2 chienness et une demi-douzaine de chat(te)s), construit une maison (qui est loin d'être finie)...

Si tout cela serait à refaire, pas d'hésitations, je refoncerai.

Les moments durs nous ont rapproché, ont cimenté notre relation, faite d'amour, de complicité, de respect et surtout de beaucoup de dialogue.
Car il en faut, pour rester ensemble si longtemps et toujours s'aimer et se désirer.

Il est tellement plus facile d'utiliser l'autre comme un kleenex : je te prends, t'utilise, et quand tu ne me conviens plus car devenu (barrez les mots inutiles) trop vieux, trop gros, trop casse-pieds, trop ronchon, trop plaplan... de le jeter ou le rejeter pour un autre, mieux, évidemment, car tout neuf.

Quel intérêt ? Celui de la nouveauté ?
Il ne durera qu'un temps... et les défauts de chacun reprendront le dessus, dans cette relation superficielle.

Je suis consciente d'avoir la chance de trouver "mon" homme, parfait pour moi, car poli à mon usage personnel.
Nos deux personnalités (et nous n'en manquons pas) se sont affrontées, complétées au fil du temps.

Encore faut-il être deux à vouloir continuer, encore et toujours cette relation, même si des tempêtes se sont profilées de temps en temps et sont toujours à redouter.

Mais quel bonheur que celui de se retrouver entre ses bras et de se sentir ainsi enserrée, chez soi, en sécurité, à la maison.
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7 février 2008 4 07 /02 /février /2008 13:28
... après ces quelques semaines de morosité, dûes au temps (froid, gris et pluvieux),  à mes conditions de travail (15.6° le matin au bureau depuis... le début de l'hiver, çela use insidieusement, surtout si l'on ne s'en rend pas vraiment compte) et à des petits soucis  de forme (générés par le froid ? peut-être) et de moral.


Enfin, me revoici, lestée de quelques kilos supplémentaires (le froid m'ayant bloqué la digestion et  poussée à prendre des rations caloriques plus  élevées, constituées essentiellement par des aliments gras et sucrés (chocolats,  gâteaux... et autres douceurs rasasiantes), et prête à recommencer mes chroniques (et mon rééquilibrage alimentaire, envoyé aux orties).


Je n'avais plus d'énergie et ne rêvait que de dormir (et manger), bref être au chaud, enfouie sous ma couette.

Heureusement, les réglages du chauffage ont été revus à la hausse et, maintenant que je ne suis plus frigorifiée, je n'ai plus tendance à hiberner comme une grosse marmotte que je suis en hiver.


Et mes neurones se sont également dégelés.


Gare à vous, me revoilà !
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