23 octobre 2009
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Me revoici en train de tranvaser les derniers vètements de ma garde-robe d'été pour les remplacer par ceux d'hiver.
J'avais temporisé cette deuxième phase, les températures restant hautes jusq'à ces derniers jours : le matin, il gelait et nous étions bien loin des 15 ou 16 degrés matinaux.
Hier, la pluie est venue, chassant momentanément le froid, mais je ne doute pas qu'il revienne rapidement : nous serons bientôt en Novembre, quand même, et même si l'été de la Saint Martin n'est pas encore passé (A l'été de la Saint Martin, l'été fait de la résistance 3 jours et un brin : dicton poitevin récemment découvert), nous sommes bel et bien en automne.
Donc, j'ai remisle nez et les mains dans mon dressing (ça fait chic !) et ai ressorti des affaires bien rangées depuis des années et que j'espérais (ou plutôt n'espérais pas) pouvoir remettre un jour.
Il semblerait que ce jour arrive, au moins pour la moitié de ces merveilles oubliées que je ne pouvais enfiler, voire fermer.
Car je continue tout doucement mon rééquilibrage alimentaire, grâce à la méthode W** W**, qui a prouvé depuis longtemps sa fiabilité et son innocuité.
Je n'osais guère en reparler ici, étant depuis des mois (que dis-je ? des années maintenant) championne des faux départs.
Il n'empêche qu'en quelques mois (car je n'arrive pas à me résoudre à appliquer strictement cette méthode, qui reste quand même un peu restrictive) j'ai perdu 4 kilos, principalement autour de la taille.
Certes, je n'ai fait que la moitié du chemin, mais j'ose enfin remettre mon nez dans ces casiers -il y en a beaucoup !- que je m'appliquais auparavant à éviter du regard.
Mieux, je mesure maintenant les quelques petits centimètres qui me restent à perdre pour enfiler les dernieres choses esseulées : jupes en soie, cuir, fendue, ou mini en tweed, pantalons en cuir, de tailleur, à pinces... le choix est vaste, ca je suis un écureuil qui garde précieusement les habits qui lui ont plû.
Me reste à muscler ce bidou qui fait quand même un peu de résistance.
Au fil des ans et des soucis, je me suis fait de ce corps un manteau, certes lourd et enveloppant, mais chaud, confortable et protecteur.
Il est temps que je m'en sépare : je commence à m'en lasser, désirant maintenant m'alléger, au propre comme au figuré et m'ouvrir au monde plutôt que me renfermer...
J'avais temporisé cette deuxième phase, les températures restant hautes jusq'à ces derniers jours : le matin, il gelait et nous étions bien loin des 15 ou 16 degrés matinaux.
Hier, la pluie est venue, chassant momentanément le froid, mais je ne doute pas qu'il revienne rapidement : nous serons bientôt en Novembre, quand même, et même si l'été de la Saint Martin n'est pas encore passé (A l'été de la Saint Martin, l'été fait de la résistance 3 jours et un brin : dicton poitevin récemment découvert), nous sommes bel et bien en automne.
Donc, j'ai remisle nez et les mains dans mon dressing (ça fait chic !) et ai ressorti des affaires bien rangées depuis des années et que j'espérais (ou plutôt n'espérais pas) pouvoir remettre un jour.
Il semblerait que ce jour arrive, au moins pour la moitié de ces merveilles oubliées que je ne pouvais enfiler, voire fermer.
Car je continue tout doucement mon rééquilibrage alimentaire, grâce à la méthode W** W**, qui a prouvé depuis longtemps sa fiabilité et son innocuité.
Je n'osais guère en reparler ici, étant depuis des mois (que dis-je ? des années maintenant) championne des faux départs.
Il n'empêche qu'en quelques mois (car je n'arrive pas à me résoudre à appliquer strictement cette méthode, qui reste quand même un peu restrictive) j'ai perdu 4 kilos, principalement autour de la taille.
Certes, je n'ai fait que la moitié du chemin, mais j'ose enfin remettre mon nez dans ces casiers -il y en a beaucoup !- que je m'appliquais auparavant à éviter du regard.
Mieux, je mesure maintenant les quelques petits centimètres qui me restent à perdre pour enfiler les dernieres choses esseulées : jupes en soie, cuir, fendue, ou mini en tweed, pantalons en cuir, de tailleur, à pinces... le choix est vaste, ca je suis un écureuil qui garde précieusement les habits qui lui ont plû.
Me reste à muscler ce bidou qui fait quand même un peu de résistance.
Au fil des ans et des soucis, je me suis fait de ce corps un manteau, certes lourd et enveloppant, mais chaud, confortable et protecteur.
Il est temps que je m'en sépare : je commence à m'en lasser, désirant maintenant m'alléger, au propre comme au figuré et m'ouvrir au monde plutôt que me renfermer...