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9 décembre 2007
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14:10
Après une journée très chargée et une soirée ratée, enfin ce fut mon sentiment.
Voulant trop bien faire, je me suis plantée en beauté.
L'apéritif, entre sangria et dip était réussi.
Les salades étaient trop peu copieuses (et un ami me l'a fait remarquer).
De plus, ma salade de champignons avait noirci, malgré la vinaigrette au citron dont je l'avais arrosée.
D'habitude, pourtant, après un apéro consistant, les entrées sont toujours zappées.
Mais la recette de domamido de salade d'oranges était une réussite :
Le sandre était délicieux; mon mari n'en a même pas mangé pour nous en laisser plus...
Le chevreuil était bon aussi, mais ce n'est pas une viande que j'apprécie beaucoup.
Et les navets que j'avais précuits s'étaient transformés en bouillie : coupés trop finement (d'habitude je les râpe), ils avaient plus ou moins fondus à la cuisson.
Le même ami m'a également fait remarquer qu'ils n'avaient pas le goût de navet...
Et le gâteau était raté.
Un bavarois aux clémentines, que je faisais pour la première fois, avec l'aide de mes hommes.
Fait avec beaucoup de retard, ils l'avaient mis au congélateur pour le durcir.
Résultat : quand je l'ai sorti, il était dur comme du bois, et beaucoup l'ont laissé dans leur assiette.
Par contre, ce matin, il est super bon, beau et tout.
J'ai rarement fait un diner aussi raté.
Et je me suis jurée deux choses :
- ne JAMAIS faire des plats pour la première fois (navets, bavarois) quand je reçois,
- et ne pas fêter un anniversaire en avance. Cela fait 2 fois que nous ke faisons, et à chaque fois, ce fût un désastre.
Sinon, le stress éprouvé m'a aussi empêchée de profiter de la soirée.
Cela m'arrive à chaque fois que je "reçois", en voulant mettre les petits plats dans les grands : j'ai toujours peur de rater quelque chose et me mets la pression
J'ai pourtant été gâtée par des amis qui connaissaient mes goûts, mais le plaisir éprouvé a été occulté par le stress et la déception.
Et ce matin, en voyant ma cuisine envahie par les plats et ma table de salon par les verres, je me suis sentie découragée.
De plus, ayant mangé de la crème fraîche (dans le bavarois) et bu un peu trop, j'ai gonflé comme une baudruche.
Tant pis pour moi ! je retournerai à ma méthode slim data, que j'apprécie de plus en plus.
C'est drôle, mais depuis que je fais cette méthode, mon corps réagit beaucoup plus violemment aux écarts que je commets... et me fais savoir qu'il vaut mieux que je continue à m'alimenter sainement.
Enfin, maintenant, tout est lavé, rangé, et ce ne sera bientôt plus qu'un mauvais souvenir.
Voulant trop bien faire, je me suis plantée en beauté.
L'apéritif, entre sangria et dip était réussi.
Les salades étaient trop peu copieuses (et un ami me l'a fait remarquer).
De plus, ma salade de champignons avait noirci, malgré la vinaigrette au citron dont je l'avais arrosée.
D'habitude, pourtant, après un apéro consistant, les entrées sont toujours zappées.
Mais la recette de domamido de salade d'oranges était une réussite :
Le sandre était délicieux; mon mari n'en a même pas mangé pour nous en laisser plus...
Le chevreuil était bon aussi, mais ce n'est pas une viande que j'apprécie beaucoup.
Et les navets que j'avais précuits s'étaient transformés en bouillie : coupés trop finement (d'habitude je les râpe), ils avaient plus ou moins fondus à la cuisson.
Le même ami m'a également fait remarquer qu'ils n'avaient pas le goût de navet...
Et le gâteau était raté.
Un bavarois aux clémentines, que je faisais pour la première fois, avec l'aide de mes hommes.
Fait avec beaucoup de retard, ils l'avaient mis au congélateur pour le durcir.
Résultat : quand je l'ai sorti, il était dur comme du bois, et beaucoup l'ont laissé dans leur assiette.
Par contre, ce matin, il est super bon, beau et tout.
J'ai rarement fait un diner aussi raté.
Et je me suis jurée deux choses :
- ne JAMAIS faire des plats pour la première fois (navets, bavarois) quand je reçois,
- et ne pas fêter un anniversaire en avance. Cela fait 2 fois que nous ke faisons, et à chaque fois, ce fût un désastre.
Sinon, le stress éprouvé m'a aussi empêchée de profiter de la soirée.
Cela m'arrive à chaque fois que je "reçois", en voulant mettre les petits plats dans les grands : j'ai toujours peur de rater quelque chose et me mets la pression
J'ai pourtant été gâtée par des amis qui connaissaient mes goûts, mais le plaisir éprouvé a été occulté par le stress et la déception.
Et ce matin, en voyant ma cuisine envahie par les plats et ma table de salon par les verres, je me suis sentie découragée.
De plus, ayant mangé de la crème fraîche (dans le bavarois) et bu un peu trop, j'ai gonflé comme une baudruche.
Tant pis pour moi ! je retournerai à ma méthode slim data, que j'apprécie de plus en plus.
C'est drôle, mais depuis que je fais cette méthode, mon corps réagit beaucoup plus violemment aux écarts que je commets... et me fais savoir qu'il vaut mieux que je continue à m'alimenter sainement.
Enfin, maintenant, tout est lavé, rangé, et ce ne sera bientôt plus qu'un mauvais souvenir.
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Published by Cybione
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La vie quotidienne est un long fleuve pas toujours
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