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13 janvier 2009 2 13 /01 /janvier /2009 15:02
La neige est-elle sitôt partie que nous commençons à la regretter,  enfouis dans la gadoue.

Après la blancheur immaculée d'un hiver neigeux, et à peine avions-nous pris l'habitude de rouler avec neige et verglas que la pluie est de retour, accompagnée de son temps triste et gris.

Personnellement, je préfèrais ce temps froid hivernal, malgré mes récriminations des premiers jours (et ma peur panique de la glissade automobile).

La roue tourne, et nous voici de nouveau à nous colleter avec bottes, imperméables et parapluies, ce qui est nettement moins drole que les gants, doudounes et autres moon-boots.

Finis, les fous rires à observer les chats étonnés du changement du paysage et peu rassurés par cette couverture neigeuse inquiétante et inconnue (qui les a vite chassés vers la quiétude du feu de bois).

La vie reprend donc son cours après cette parenthèse immaculée.

Bonne journée,
et bonne patouille !



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8 janvier 2009 4 08 /01 /janvier /2009 12:57
Il y a peu de temps, j'ai fini la lecture de Toxic, que je ne peux que, malheureusement,  recommander à tous.

Malheureusement, car ce livre décrit les "dérives" (et ce mot est largement en dessous de la vérité) des industries agro-alimentaires.
Attention : pas toutes, seulement celles dont profit est le credo, style C..a-C...a, M.c D....d et autres majors américaines qui lobbyent le gouvernement de ce pays (et essayent de faire de même en Europe, maintenant).

Ce livre a été écrit suite à la prise de conscience de l'auteur de l'obésité galopante aux Etats-unis, phénomène qui se répand maintenant (avec du retard) dans le monde entier.
Il a donc mené son enquète (très bien documentée) sur tous les fronts pour en arriver à toutes les causes de ce phénomène de sur-poids.

Et celles-ci sont bien loin des causes montrées du doigt par la vox populi : il ne suffit plus de bouger et de se priver pour maigirir car pleins de facteurs divers sont en jeu, certes moins en Europe que dans le nouveau monde, mais nous y arrivons tout doucement.

Il y a les facteurs de base, induits par notre évolution, et dont les industries profitent largement :
- le goût sucré est synonyme de sécurité alimentaire, contrairement à l'amer, par exemple : dans la nature, ce goût correspond à des aliments ne présentant pas de risques, contrairement à l'amer, synonyme de toxicité.
L'homme était tiraillé entre son goût pour la nouveauté et la peur de s'empoisonner, lors de l'évolution de la race humaine ce goût a donc été "programmé" dans notre inconscient.
L'agro-alimentaire ajoute donc du sucre presque partout, pour "adoucir" le goût des aliments (rappellez-vous du sucre mis dans les petits pois par nos mères... maintenant ce sont des dizaines de sucre qui sont présentent dans une canette de soda).

- plus une portion est grande, plus on mange, alors que l'on en reprendrait pas une deuxième, l'inconscient faisant barrage ("péché" de gloutonnerie).
Les grandes portions faussent la perception des quantités; dans les régimes, ne vous conseille-t'on pas de manger dans des assiettes plus petites : la sensation de satiété arrive plus rapidement (= quand l'assiette est vide).
Pour la petite histoire, cela fut démontré par un gérant de cinéma qui s'aperçut qu'une grosse portion de pop-corn se vendait plus facilement que deux petites... Il finit sa carrière dans Mac Donald où il appliqua les mêmes méthodes pour en faire la multinationale que l'on connaît maintenant.
Savez-vous qu'aux USA les livres de cuisine majorent systématiquement les quantités des recettes (cela est flagrant en comparant les versions europeénnes et américaines d'un même ouvrage) ?
Et que les touristes américains se plaignent systématiquement de la pingrerie des restaurants européens dans lesquels les portions sont réduites ?

- Ajoutez à celà , pour certaines personnes, un virus (présent chez certains obèses) et une prédisposition génétique à l'obésité (garante de survie en cas de famine).


Ensuite les facteurs induits par notre société et  la chasse aux profits, et alors là, attention !

- la télévision, allumée plus de 8 heures par jours chez nos voisins outre atlantique.
Pendant ce temps, évidemment, pas question de se dépenser physiquement : terminés les jeux des enfants dans la cour.
De plus, la télévision est squattée par la publicité qui "dresse" nos enfants : leur idéal alimentaire se crée avant  l'âge 2 ans.
En 2006, 89% des pubs qui leur étaient directement  destinées concernanient des produits gras et sucrés (enquête Que choisir).

- la publicité : outre les spots télés, elle sponsorise directement les écoles américaines : les marques de sucreries ont sorti leurs livres de maths dans lesquels les enfants comptent... des bonbons M &M's !
Les chaînes ne s'y trompent pas, quand le directeur de TF1, en 2004 écrivait dans son livre :
Il y a beaucoup de façons de parler de la télévision. Mais dans une perspective "Business", soyons réalistes : à la base, le métier de TF1, c'est d'aider Coca-Cola, par exemple, à vendre son produit. ... Or, pour qu'un message publicitaire soit perçu, il faut que le cerveau soit disponible. Nos émissions ont pour vocation de le rendre disponible, c'est-à-dire de le divertir, de le détendre pour le préparer entre deux messages. Ce que nous vendons à Coca-Cola, c'est du temps de cerveau humain disponible.
Même si, par la suite, il est officiellement revenu sur ses propos.
Cependant, des recherches sont actuellement menées dans des universités (sponsorisées par qui, à votre avis ?) pour trouver "l'élément déclencheur d'achat" : le neuro-marketing, élément ultime du packaging.

- donc, vendre des portions plus grosses : à quantité égale, il y a moins de main-d'oeuvre et de frais d'emballage que dans 2 portions "normales". On en arrive aux portions individuelles  XXL ... qui commencent à arriver en France.

- fournir ce qui correspond aux goûts programmés (le sucré et le gras), d'où la débauche de fritures et de sucreries présentes à la vente.
Il y a 30 ans, combien de ces aliments étaient consommés quotidiennement ?

- la révolution industrielle et sociale : les femmes (et les hommes, d'ailleurs)  travaillent de plus en plus et ont (ou prennent) moins le temps de faire à manger. D'où l'achat de plats préparés.
Savez-vous qu'aux USA, plus d'un tiers des femmes ne savent pas cuisiner plus de deux plats ?

- la mutation de l'agriculture américaine, initiée dans les années 1970, passant d'une foule de petits producteurs à 4 grands groupes faisant de l'agriculture de rendement grâce à l'ajout massif  d'engrais, de pesticides, fongicides, herbicides et autres produits.
Le paradoxe fut que ces changements créèrent un surproduction de maïs.
Pour l'écouler, les chercheurs inventèrent le sirop de glucose-fructose (HFCS), beaucoup moins cher que le sucre et permettant donc de sucrer à moindre coût tous les aliments désirés, donc de mieux les vendre...
Bonus : ce sirop ne génère pas de sentiment de satiété (et d'écoeurement), contrairement au glucose : plus de barrière à l'absorption de produits sucrés !

- Plus tard, ils firent de même avec l'hydrogénation des matières grasses pour créer ces fameux acides gras trans,  miracles pour les industries : moins chères, elles résistent aux hautes températures et évitent le rancissement des aliments dans lesquels elles sont présentes.
Par contre, lors des essais, il fut avéré qu'à quantité égale, tous les cobayes ayant ingéré ces matières grasses grossissaient.


Le pire reste pour la fin :
- l'élevage intensif des animaux, dans des conditions d'hygiène déplorables (lagons à ciel ouvert de milliers de litres d'excréments et de carcasses), obligeant les producteurs à les gaver d'hormones, d'antibiotiques, vitamines et autres suppléments alimentaires.
Dont le moindre n'est pas de la poudre de protéines provenant de l'incinération de carcasses plus ou moins fraîches (dont celles des animaux de compagnie euthanasiés, brulés avec leurs colliers insecticides).

- A  leur abattage, rapide (et donc moins hygiénique), des contaminations se produisent, parfois mortelles.
Il ya quelques jours, au JT, un employé de SOVIBA témoignait que les conditions d'hygiène (surtout, visionnez la vidéo), qui devaient être améliorées suite à la contamination de lots de viande, dont certains destinés à des chaînes de fast-food, n'avaient pas changé et restaient toujours aussi précaires.


Quant à leur conditionnement, les aliments frais  sont maintenant irradiées, gazées, voire même colorés pour "durer" plus longtemps.

- L'irradiation dénature les aliments, détruit leurs vitamines et crée de nouvelles substances suspectées d'être cancérigènes et toxiques (cyclobutanones, connues dès les années 50-60 pour leurs effets d'altération chromosomique).
De plus, elle détruit les bactéries, mais non leurs toxines, qui restent présentent dans la belle viande rouge visible en supermarchés.
Pire, elle épargne certains insectes et bactéries (sans parler des prions), favorisant ainsi l'apparition de nouvelles souches plus résistantes.

- Le conditionnement  des viandes préemballées est également une invention diabolique.
Ce mélange de monoxyde de carbone, dioxyde de carbone et azote insufflé à l'emballage a 2 qualités essentielles pour l'industriel :
- il allonge l'espérance de vente de la viande (2 semaines au lieu de 5 jours)
- et surtout il fixe par réaction chimique sa couleur rouge et préserve ainsi son apparence, quel que soit son état réel et même si elle est devenue impropre à la consommation.
Auparavant, notre instinct nous prévenait face à une viande brune (ou verte) : grâce à la magie moderne, il est trompé et nous ingérons en toute quiétude une viande avariée.
L' argumentaire d'un vendeur de gaz précise clairement qu'il bloque la couleur, l'odeur... et la perception sensorielle du produit.

Il est facile, ensuite, de condamner les utilisateurs "qui ne font pas cuire correctement" leur viande !
Sans parler de stigmatiser "les gros" !



Ainsi donc, notre société est en marche vers une catastrophe dont les effets commencent juste à se faire sentir : enfants souffrant d'affections cardio-vasculaires, de diabète "des vieux" (renommé de type 2 maintenant) et dont l'espérance de vie est en chute libre.

Et ceux qui parlent de santé publique sont vite vilipendés; leurs propos sont édulcorés et leurs mises en garde non suivies d'effet.
Aux Etats-unis, les industries agro-aliementaires sont les plus gros bailleurs de fonds des campagnes présidentielles...
Qu'en est-il réellement en France ?

Tous connaissent les risques encourus, mais la voix des profits est la plus forte, comme d'habitude.



A moins que nous tous, consommateurs de base, ne relayions cette information pour que nul ne puisse dire à l'avenir "je ne savais pas" en regardant son enfant mourir.




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6 janvier 2009 2 06 /01 /janvier /2009 19:26

Et voici mon jardin sous la neige...


    

    

  
 

 

 
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5 janvier 2009 1 05 /01 /janvier /2009 16:47
à vous tous qui me lirez.

Me revoici, enfin, après une relâche pendant les fêtes.

Je dois avouer que je me suis laissée vivre, entre chéri, famille, amis et livres.
Ce fut bien agréable, mais toutes les bonnes choses ayant une fin, me revoici de nouveau parmi vous.

En attendant, je vous souhaite à tous une belle, bonne et heureuse année 2009 !


 
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5 janvier 2009 1 05 /01 /janvier /2009 12:35
Et voici donc les jolis cadeaux (arrivés le 24 décembre, juste à temps pour être mis sous le sapin) que Mayeul m'a fabriqué.



Une belle carte de voeux, la première...


 
      

ainsi qu'une trousse aux trésors, un grand monogramme en bois cérusé et des décorations en plâtre doré à mettre ici ou là...


Encore merci, Mayeul, pour ces petits objets, gage de ton amitié électronique.

A mon tour de continuer cette chaîne d'amitié en promettant aux 5 premières personnes qui se feront connaître un cadeau maison (ici pas de cadeau acheté !) personnalisé, à charge pour elles de continuer elles aussi cette grande chaîne d'amitié virtuelle en gâtant de la même manière 5 autres personnes.


   
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25 décembre 2008 4 25 /12 /décembre /2008 10:47
Je vous souhaite à tous un joyeux Noël plein de chaleur et de tendresse.

Le nôtre fut particulièrement réussi, plein de rires (merci la Wii) et d'amour.
J'avais décicé (enfin ! après tant d'années) d'acceuillir en mon coeur cette grande fête du renouveau de la vie et je ne le regrette pas.




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20 décembre 2008 6 20 /12 /décembre /2008 14:35
En ce moment, comme vous l'avez pu constater, je suis en plein trip cuisine, signe que le moral est au beau fixe.

Ainsi donc, comme d'habitude, j'ai ressorti de ma mémoire une recette glanée, je ne sais où et adaptée à ma façon (et à mes placards).

Pour 4 personnes, il vous faut :
- 2 râbles de lapin désossés et coupés en morceaux par votre boucher
- 1 brique de lait de coco
- le jus d'1/2 citron
- de la sauce soja pour saler
- 1 oignon
- 1 gousse d'ail
- de la citronnelle
- 1 tranche de gingembre frais (ou en poudre)
- 1 cuiller à café de quatre épices
- 1 bonne cuiller à café d'épices colombo (hot!!)


Dans un wok bien chaud, versez un peu d'huile d'olive et faites rissoler l'oignon taillé en brunoise à feu vif sans arrêter de tourner : il doit commencer à roussir tout en restant croquant.
Réservez le dans une assiette.
Remettez un peu d'huile et faites revenir le lapin puis, quand il est doré, rajoutez l'ail et le gingembre coupés menu et  les rognons du lapin.
Après quelques instants, rajoutez les oignons,  couvrez avec le lait de coco et le jus de citron puis assaisonnez petit à petit (en goûtant car il est tres fort) avec le colombo et les quatre épices.
Rajoutez un brin de citronnelle (entier si vous désirez le retirer au moment de servir ou coupé fin si vous aimez son goût piquant) et  un trait de sauce soja pour saler .
Les goûts doivent rester équilibrés et aucune saveur ne doit l'emporter sur les autres.
Baissez le feu et faites mijoter un petit quart d'heure.

Au final, le goût de la coco ne se sent pas du tout et le résultat doit baigner dans une sauce courte onctueuse.
Si toute la sauce s'est évaporée, délayez avec un peu de lait de coco (s'il vous en reste) ou d'eau et redonnez un petit bouillon.

Servir avec un peu de sésame ; personnellement, j'ai utilisé du gomaso, que je prépare  en quantité : sésame grillé mixé avec autant de sel.

Accompagnement : riz basmati.

Bon appétit !



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19 décembre 2008 5 19 /12 /décembre /2008 00:00
Dernièrement je suis tombée sur cet article du Monde qui, à défaut de me faire (au début) pleurer par sa bêtise sous-jacente (les "acteurs" de l'Ile de la tentation veulent justement être considérés comme des acteurs) m'a fait rire jaune et m'a permis de reconsidérer ma vision de cette émission de télé trash.

Jugez-en plutôt : dernièrement  un jugement a pris en compte les desiderata du collectif de ces acteurs, qui nous sont plutôt présentés dans l'émission comme de jeunes femmes et hommes prêts à tout  pour participer (c'est-à dire casser des couples "unis" en séduisant chaque conjoint  -séparément, la morale est sauve-) et gagner et ont condamné la maison de production à les payer pour "travail fait".

Làs ! Ce sont en réalité, comme ils l'expliquent dans leur lettre jointe, des acteurs tenus de s'en tenir à un script très détaillé sans aucune possibilité de broder sur le scénario.

Qu'est-ce donc ?
Tous ces flirts plus ou moins (enfin, souvent plus que moins) poussés, ces ébats médiatisés, ces ruptures consommées en direct devant le bon peuple ne seraient que du vent ?

Ou comment manipuler les téléspectateurs accrochés à cette " tranche de vie ", rêvant devant ces corps parfaits (évidemment, ils ne vont pas embaucher des cageots) dénudés en un lieu paradisiaque.

J'en ris encore, surtout après avoir entendu les commentaires de quelques uns de ces dits-spectateurs le lendemain de l'émission,  un vrai régal, d'autant plus que, ne suivant pas cette émission, je les prenais au premier degré, ignorant tout des péripéties de l'épisode (et de l'histoire).

Mais une question se pose : si ces ébats sont réels (comme cela est présenté dans la presse à scandale) et non "mimés", quel est le statut réel de ces acteurs ?
Et celui de la maison de production qui les emploie ?
Car je crois qu'il existe des termes nommant les ébats sexuels accordés contre de l'argent, ceux qui en font leur gagne-pain ainsi que ceux qui récoltent les royalties engrangées ainsi...

Et je ne parle pas des voyeurs "en tout bien tout honneur" qui se rincent l'oeil en imaginant des scenarii croustillants ... scénarisés et programmés suivant la courbe d'audience.



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18 décembre 2008 4 18 /12 /décembre /2008 07:00
Comme je l'ai dit dans une précédente note, j'ai fait récemment des Meat and fish, et me suis retrouvée avec une pleine assiette (creuse) de têtes et carapaces de gambas.

Ne voulant pas les jeter (quel gâchis !), je me suis concoctée (étant la seule à en manger) une petite bisque vite faite, mais néanmoins délicieuse.

Epluchez et émincez une ou deux carottes et un gros oignon.
Dans une grande casserole, faites-les revenir à feu vif sans arrêter de tourner dans un peu d'huile d'olive.
Dès qu'ils commencent à légèrement caraméliser, ajoutez les déchets de gambas et faites saisir, toujours en tournant.
Ajoutez un peu de sel, un verre de vin blanc, beaucoup d'eau, faites donner un bouillon  et ... oubliez sur feu très doux (je crois qu'elles ont bien du cuire au moins 45 minutes) en rajoutant éventuellement de l'eau : les gambas doivent rester immergés.
Couvrez (surtout si vous avez des chats et ne voulez pas les retrouver les moustaches dedans), et laissez refroidir.

Passez le tout au mixer, longtemps, puis passez la mixture obtenue au chinois en appuyant avec une cuiller afin de récupérer le maximum de jus (les déchets feront le plaisir de vos chats et chiens, si vous en avez).

La bisque est prête : en théorie, il faudrait la lier au moment de servir avec un jaune d'oeuf et deux cuillers de crème fraîche, mais je vous garantit qu'elle n'en a nul besoin, tellement elle est crémeuse.
Juste une pincée de gruyère rapé pour en rehausser la saveur.

Bon appétit !

Et en plus, peu de calories : idéal pour compenser les agapes de la veille !





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17 décembre 2008 3 17 /12 /décembre /2008 06:24
  • Auteur : Orson Scott Card
  • Poche : 541 pages
  • Editeur : J'ai lu (10 janvier 2007)
  • Collection : J'ai lu Science-fiction
  • Langue : Français
  • ISBN-13: 978-2290356845
Présentation de l'éditeur
Pour Bean, l'existence se résume à un seul mot : survivre. Sa fuite, à l'âge d'un an, de la clinique clandestine où il a été conçu artificiellement le conduit droit dans l'enfer des bas quartiers de Rotterdam, où la violence, la drogue et la prostitution deviennent son quotidien. Grâce à son incroyable intelligence, il s'attire cependant l'attention des pontes de la flotte intergalactique, qui voient en lui un nouvel Ender Wiggin. Ender Wiggin, le légendaire surdoué chargé d'orchestrer la contre-attaque contre les formiques. Ender Wiggin, le dernier espoir de l'humanité. Enfin, jusqu'à maintenant, car Bean n'a pas choisi d'intégrer l'école de guerre pour faire de la figuration.


O. S. Card commence ici un second cycle parallèle à celui d'Ender (paru une dizaine d'années plus tôt), mais centré sur ceux qui sont restés sur Terre.
Ce livre décrit la vie de Bean, second d'Ender lors de la bataille finale contre les doryphores.
Il décrit sa (sur)vie dans les bas-fonds de Rotterdam, son sauvetage par une religieuse chargée de dépister pour l'école de guerre les génies en herbe puis son intégration dans cette école.
A ce moment, son histoire rejoindra celle d'Ender, vue par un oeil différent.
Après la guerre, leurs destins se sépareront...

Mon avis
Cet ouvrage préfigure un cycle beaucoup moins basé sur la philosophie et le mysticisme que celui d'Ender.
Ici, la préoccupation principale de Bean pendant tout le livre est "survivre" en utilisant son intelligence pour contrebalancer sa jeunesse et sa petite taille.
Beaucoup moins profond que les précédents tomes, il se lit facilement malgré  la réécriture de l'histoire de la guerre contre les doryphores par des enfants déjà décrite dans Ender.
Il est aussi beaucoup plus axé sur la psychologie des personnages principaux avec, comme souvent chez Card, l'affrontement entre 2 personnalités incarnant le bien et le mal.

8/10
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