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8 juin 2010 2 08 /06 /juin /2010 07:10

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Vous lisez actuellement le cinq centième article publié sur ce blog, créé le jeudi 11 octobre 2007.

 

Déjà plus de 2 ans et demi que vous me suivez avec indulgence et  lisez mes écrits.

 

Au moment où j'écris ces lignes (soit quelques jours avant), j'apprends que ma fréquentation est de 33.666 visiteurs depuis sa création... joli score, n'est-ce pas ?

 

D'autant plus que moi aussi ai eu des périodes où je le (vous) délaissais pour d'autres occupations.

 

A bientôt pour le 1000 ème article !

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7 juin 2010 1 07 /06 /juin /2010 11:52

Samedi  fut une journée rare,  parfaite à  tous points de vue.

 

Bien réveillée, j'ai enchaîné sur une matinée coiffeur (il lui faut bien 3 heures pour colorer, tailler et brusher ma crinière) : arrivée un peu tard pour partir de suite, nous allâmes déjeuner dans un petit restaurant sans prétention situé sur les berges de la Charente.

 

Après une grosse salade composée et un café gourmand, nous partîmes étrenner la moto en bord de mer  avec un aller-retour rapide à La Rochelle dans l'après-midi, ponctué d'une promenade au vieux port.

Le soleil était radieux, les conditions idéales pour profiter de la moto et de la balade.

 

Pour l'occasion, je me l'étais jouée "rock" : gilet barman dos-nu et jean slim noirs, casquette de cuir noir à chaîne et ray-ban pilotes (enfin elles y ressemblaient).

Tous tatouages au vent, je m'amusais ferme à voir la réaction de certaines personnes, hautaines, amusées ou .. intéressées.

 

 

Lors de la traversée d'Aytré, que mon mari voulait découvrir autrement qu'en camion, je suis restée (brièvement : la moto filait vite !) en admiration devant cette monumentale sculpture : le cheval-bateau :

 

cheval-bateau-aytre.jpg

 

J'ai trouvé sur internet cette  photographie, qui ne rend aucunement hommage à la splendeur de cette oeuvre monumentale (25 tonnes !) en fonte d'acier du sculpteur Christian Renonciat, mise en scène surgissant d'un bassin à trois niveaux.

Sa tête de cheval se poursuit sur un corps décharné, ressemblant de plus en plus à la membrure d'un bateau, le tout émergeant d'un predmier bassin plat se déversant dans deux autres en contrabas.


En voici une seconde photographie, trouvée sur le site de l'artiste (la tête n'est pas encore patinée par la rouille) :

cheval-bateau-aytre-2.jpg


 

 

La journée a été émaillée d'autres petits cadeaux de la vie :  une jeune fille qui, en me dépassant, s'est retournée pour me dire "il est splendide" (mon dos) avec un grand sourire avant de reprendre son chemin,  puis au moment de repartir, un très vieux monsieur qui s'est arrêté près de la moto  et a discuté avec nous, admirant notre engin, nous parlant de ses motos (3) et partant sur ce mot "les gens feraient mieux de profiter de la vie plutôt que de faire la guerre"...

 

Le retour se fit agréablement et la journée se finit autour d'un chiche kebab proposé par notre fiston.

 

Hummmmm ! La belle saison commence bien, avec la promesse de nombreuses promenaes à venir !

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7 juin 2010 1 07 /06 /juin /2010 08:03

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Dans un précédent article, je parlais de Matthew Stein, ingénieur ayant défini 6 causes majeures pouvant chacune mettre fin à notre civilisation.

Leur conjonction risquerait quant à elle de détruire la vie terrestre telle que nous la connaissons actuellement.

Voici la quatrième, malheureusement déjà en marche depuis que l'homme existe : la destruction des géants de la Terre, souvent plus vieux que nous autres humains : la déforestation.

 

La forêt est un biotope bien particulier.

Certes, il n'existe plus guère de forêts primaires (totalement naturelles), qui ne représentent plus que 10% de celles-ci, mais ce sont ces écosystèmes protégés qui recèlent la plus grande biodiversité en raison même de leur préservation à l'écart de notre influence prédatrice.

 

Chaque année, entre 13 et 15 millions d'hectares de forêts sont détruits (soit la superficie du quart de la France), dont 4 milliards en Afrique et en Amérique du Sud.

Les pays ayant subi une aggravation de la baisse de leur massif forestier sont les suivants :  Australie, Brésil, Chine, Inde, Indonésie, Fédération de Russie, Pérou, République démocratique du Congo.

 

Les chiffres sont d'ores et déjà alarmants :

  • 50% des espèces végétales et animales vivent dans les forêts tropicales,
  • 50% des médicaments proviennent de la nature,
  • 50% des forêts tropicales ont déjà disparu.

D'autres pays parmi les plus riches  (Etats-Unis, Canada, Suisse, Croatie, Japon...) ont réussi à stabiliser leur déforestation, voire à inverser le mouvement, comme la France dont la forêt occupe 15,5 millions d'hectares, soit 28% du territoire (contre 90% estimés en l'an 0).

Il n'en n'est pas de même ailleurs, les pays émergeants exportant leurs ressources : le Brésil détient la palme avec la déforestation de 42,3 millions d'hectares en plus de 15 ans.

 

Malheureusement pour nous, les forêts fixent le carbone et la déforestation serait responsable de 25% des émissions de gaz à effet de serre, augmentant par là le réchauffement climatique, autre cause possible de notre disparition.

 

 

La déforestation a plusieurs origines :

 

- l'expansion humaine

L'urbanisation fut la première cause de sa destruction  : les populations augmentant, il fallut trouver la place de construire.

On considère que le défrichement par le feu (le plus facile) commenca il y a 8.000 ans en Chine pour se poursuivre dans l'hémisphère Nord.

Il se poursuit toujours, et l'implantation des infrastructures (autoroutes...) n'améliore pas la situation.

N'oublions pas non plus le bois de chauffage, qui contribua à la disparition forestière dans les pays les plus pauvres.

 

 

- l'élevage et l'agriculture

Apparue au néolithique, ils nécessitent là aussi de vastes espaces pris sur les forêts.

L'apparition de l'agriculture intensive fait actuellement d'immenses dégâts avec les besoins des industriels s'intéressant à ces nouvelles sources d'alimentation et d'énergie.

Paradoxalement, la demande de biocarburants a fait exploser la déforestation avec la plantation d'immenses champs de soja.

Vous trouverez d'ailleurs ici un article du Monde diplomatique expliquant très bien les enjeux (industriels et financiers) de ces agro-carburants tout sauf écologiques.

 

 

- l'industrie

Les pays, surtout émergeants, exportent leurs bois pour nos industries :  c'est ainsi que fleurissent l'été des publicités pour des salons de jardin en bois au noms imprononçables issus des forêts tropicales, le reste allant à l'industrie papetière, grosse consommatrice de bois.

 

Par ailleurs et depuis toujours, l'exploitation minière éventre et empoisonne les forêts : tout d'abord par le besoin des forges en combustible, maintenant par les rejets de résidus toxiques.

 

 

- d'autres causes diverses

participent également, quoiqu'en quantité moindre, à ce phénomène.

  - Les ennemis naturels de la forêt  : insectes, champignons xylophages, maladies diverses (graphiose de l'orme) ont vu leur ravages agrgavés par la politique de reforestation humaine ne tenant plus compte de la biodiversité, mais privilégiant une seule espèces, souvent importée.

  - La pollution qui empoisonne nos massif.

  - Les incendies ravageant d'un seul coup des milliers d'hectare.

  - Les accidents climatiques : sécheresse, tempêtes...

 

Tout celà n'augure rien de bon pour cet écosystème qui vit naître l'homme.

Nous survivra-t-il ?

 

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6 juin 2010 7 06 /06 /juin /2010 08:24

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Eh oui, une semaine de passée depuis le début des graaaannnnnds travaux de ma cuisine.

 

Cette fois, pas de demi-mesure : cela aura été un professionnel qui se sera chargé de tout, cherettendre étant trop pris par son travail pour se charger des "menus" travaux préparatoires - qui n'ont de menus que le nom (arrachage, placage, bandage, pose de toile, peinture, électricité, plomberie...).

 

Une semaine sans évier ni moyen de cuisson hormis le four à micro-ondes.

Que diable ! Nous arrivons bien à nous sustenter !

 

Pour moi, salades composées (bon moyen de revoir mon alimentation et de manger plus léger), pour cherettendre la même chose, suivie d'un plat réchauffé.

Je n'aurais jamais autant mangé de plat tout préparés.

 

Le plus dur, pour moi ?

Ne plus avoir accès à mon tiroir aux trésors, j'ai nommé mon assortiment d'épices, bien nichées au fond d'un carton.

 

Et également la poussière, omniprésente malgré les protections dûment installées : le poncage de placoplâtre ne fait pas de quartier !

Et ne parlons pas de l'accumulation d'objets dans mon salon-salle à manger devenu cuisine auxiliaire : un vrai bazar !

Nous le prenons avec le sourire, galopant toujours à la recherche du couteau perdu ou du pain égaré.

Même les chats effarés n'osent plus y mettre la patte : ils se replient sagement sur les fauteuils et le canapé, à moitié squatté par la télé.

 

A part cela, le stress s'en est allé en même temps que l'ouvrier arrivait.

Et j'ai pu assister en direct à la métamorphose de ma cuisine.

 

Aujourd'hui elle est encore nue, mais maquillée de gris (clair et foncé) et de vert pomme renommé kaki.

Du plafond et des murs refaits me scrutent plein d'yeux noirs d'où sortent des cables.

 

Ah ! C'est sûr ! Cette fois, je verrai enfin clair dans ma cuisine, antre de joie et de plaisir annoncé par des effluves parfumées.

 

Demain, mon piano arrivera, accompagné des meubles...

Je n'ai plus hâte de les (rece)voir : tout viendra en son heure et je suis sure que ce sera parfait.

 

En théorie, livraison jeudi... on verra bien !

 

 

 

 

Cela va faire quel

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5 juin 2010 6 05 /06 /juin /2010 07:43

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Il faut dire que je me languissais désespérément de ce bel astre, qui jouait à cache-cache avec les nuages depuis trop longtemps.

 

Le voici enfin en majesté, presque trop pour nous autres habitués il y a quelques jours encore aux pulls et autres polaires.

 

Je vais enfin pouvoir remiser (du moins je l'espère) mes habits d'hiver pour ressortir avec délices mes légères parures estivales.

A cette occasion, que découvrirai-je de nouveau, acheté en soldes et jamais porté, donc oublié : une petite jupe, un haut sympathique, un bibi de plumes ou un bustier aguichant ?

 

Je me fais à l'avance une fête de ces retrouvailles oh combien futiles, mais tellement agréables (sans compter que WW aidant, je me sens affinée, même si beaucoup reste encore à faire dans ce sens).

 

Cette fois, pas de chaussures, j'ai été sage et, surtout, ma boulimie s'en est allée.

Enfin, dirons cherettendre ainsi que mes enfants, effarés par le nombre de chaussures accumulées au fil des ans, bichonnées, cirées, remisées dans une armoire dont elles débardent allègrement.

 

Je vais aussi sortir casque, blouson et bottes de moto pour enfin profiter en duo des beaux jours qui s'annoncent.

 

A bientôt !

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4 juin 2010 5 04 /06 /juin /2010 08:48

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Dans mon précédent post, j'analysais les raisons de mon attachement à l'anonymat de mon blog.

En me focalisant sur la remarque de mon visiteur, je n'avais exploré que cette voie, mais il m'est venu à l'esprit une autre raison, au moins aussi valable pour moi, voire plus que le besoin de tranquilité : le besoin de confidences.

 

Car écrire dans un blog mes pensées les plus personnelles revient un peu à tenir un journal intime.

Certes, je ne suis pas diariste dans l'âme et je me vois mal m'étendre ici sur des petites frustrations ou commentaires personnels (surtout désobligeants) sur des tiers précis et nommés.

 

Cependant, quel soulagement plaisir de pouvoir me confier en sachant que ces propos n'auront pas de suite valable autre que celles que j'aurai désirée.

 

Plaisir, également de recevoir de petits mots presqu'anonymes (car certains d'entre vous sont devenus des presqu'amis au fil des jours et des affinités), de partager coups de coeur, de gueule ou de blues.

 

Et je pense que ce serait cela, ma motivation première concernant mon anonymat.

 

Vous êtes, en quelque sorte, mes confidents, vous tous qui m'accordez une oreille (ou plutôt un oeil) compatissante et désintéressée.

 

Vous suivez mes états d'âme en même temps que les variations de mon poids, de ma garde-robe ou de mon intérieur.

 

Et je sais que vos remarques (trop rares à mon goût, hélas !) sont totalement spontanées : nous ne nous connaissons pas ni ne nous devons rien.

D'où cette franchise que j'apprécie et qui me fait avancer, car elle me permet de me rendre compte de l'image que je projette face aux autres, et qui, quelquefois est différente de mon moi profond.

 

De plus, écrire est aussi une forme de témoignage, voire de thérapie : en écrivant, je rends réelles mes pensées, cristallise mes sentiments -bons ou mauvais- et me permet de faire un premier pas vers une guérison éventuelle (dans le sens de "me rendre meilleure", plutôt que dans celui de "me soigner"), vers un état plus élevé et plus conscient.

 

Vous voyez : je me psychanalyse toute seule sur votre divan, alors imaginez mon émoi si vous étiez une  personne qui me connaisse et en laquelle je n'aurais pas confiance !

Vous ne seriez pas tenu(e) par le secret professionnel et pourriez clabauder à votre aise sur moi et mes pensées.

 

 

Sans cet anonymat, je ne serais pas tout celà, je n'écrirais pas toutes ces pages, ou alors en me censurant davantage, de peur de nuire à quiconque (moi ou les autres).

 

Donc, OUI, je revendique le droit (et le fait) d'être anonyme, en toute conscience.

 

Et ce n'est pas uniquement de la lâcheté, loin de là.

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4 juin 2010 5 04 /06 /juin /2010 07:32

Je rebondis suite à la note laissée par Charles Daney sur ma précédente note concernant l'anonymat des blogs.

 

Non pour me justifier, mais pour arriver à comprendre ma (notre) quête d'anonymat, surtout lorsque rien ne justifie celui-ci (propos injurieux ou licencieux).

 

Ma première et la plus flagrante fut "La liberté d'expression".

Or, reconnaîssons que nous sommes dans l'un des rares pays l'acceptant (34ème sur la liste d'indice de liberté de la presse mondiale) , sinon je ne serais pas en train d'écrire ceci.

Pourquoi grands dieux nous attachons-nous donc si fermement à quelque chose que nous possédons déjà, le défendant bec et ongles contre vent et marées, parfois pour notre plus grand mal (et je ne parle pas ici de ce sujet) ?

Concernant mon blog, je pense que cette excuse est sans sujet : je ne pense pas

 

 

Ma seconde réaction fut en bref "je ne veux pas que des personnes de mon entourage me reconnaissent".

Pourquoi ?

LA PEUR.

 

Il y a quelques années, nous avons subi une vague de coups de téléphone anonymes... et franchement tendancieux, dont le but flagrant était d'essayer de semer la zizanie chez nous.

Nous en sommes ressortis plus forts, mais pas sans avoir été égratignés et surtout échaudés par cet incident d'autant plus désagréable que nous ne savions comment le gérer.

Savoir que quelqu'un vous en veut au point de vous attaquer, non pas physiquement, mais pire, insidieusement est créateur d'insécurité et de malaise.

 

Alors, oui, je ne veux pas que pour quelque raison que ce soit, nous soyons en butte de nouveau à ce genre d'attaque de déséquilibré(e).

Parce que tout le problème vient justement de l'anonymat de l'agresseur : qui est-il et que veut-il exactement ? Pourquoi ? Jusqu'où ira-t-il pour aller jusqu'au bout de son délire ?

Cette situation est plus qu'inconfortable, je vous assure.

 

Et paradoxalement, je défend mon anonymat pour ne pas me trouver face à celui d'un agresseur potentiel.

 

Cependant, me direz-vous, c'est avec ce genre de réflexions que tout peut arriver : les personnes se faire attaquer devant vous sans que vous ne bougiez, les dictateurs arriver au pouvoir, les injustices se commettre au grand jour...

 

Et, en fin de compte, ce sentiment a un nom : la lâcheté.

 

Et je l'avoue à ma grande honte : oui, je suis lâche.

Oui, je veux rester bien confortablement terrée dans mon coin, sans risques aucun.

Oui, je me retire dans ma tour d'ivoire du haut de laquelle je peux scruter le monde et émettre mon avis hautement réfléchi (tu parles !).

Oui, j'ai peur de risques éventuels (mais lesquels, bon sang ?).

Non, je ne désire pas non plus que, me reconnaissant, mes lecteurs puissent, en extrapolant sur ce que j'écris, reconnaître personnes et situations dont je parle à titre personnel, mon but n'étant pas de porter atteinte à qui que ce soit.

Non, je ne désire pas attirer sur ma tête et surtout sur ma famille le risque infime d'une oppobre mal dirigée.

Non, je ne désire pas être (re)connue.

Pour l'instant.

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3 juin 2010 4 03 /06 /juin /2010 08:21

orage

 

A la suite d'un commentaire, j'ai découvert le site de ce jeune homme dont la passion première est la météo.

 

Ajoutez à celà un intêret très vif pour la photographie et vous aurez son blog Passion photo et météo, qui sort des sentiers battus et vaut absolument le détour.

 

Et n'ayez pas peur ! Il est tout sauf rébarbatif : certes, il est instructif, mais il sait distiller à petites doses compréhensibles les commentaires de ses clichés

 

En le parcourant, vous découvrirez de splendides photographies, dignes d'un professionnel : principalement de phénomènes météos, mais pas que.

 

Vous y trouverez par exemple des paysages de toute beauté, ainsi que des posts sur l'aspect technique de la photographie.

 

A découvrir d'urgence, et à "supporter" absolument : il débute juste !

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1 juin 2010 2 01 /06 /juin /2010 14:19

 

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Dans mon agenda (très) personnel, le 1er juin est le début officiel de l'été, la promesse de belles soirées ensoleillées, à partager un verre entre amis près du barbecue.

 

C'est aussi le moment des parties de pêche ensoleillées mais pas trop, les prémices des vacances qui approchent, dégustées à coups de week-ends passés dehors, au bord de l'eau ou en promenade.

Juin, ce sont pour moi les orteils frétillant au soleil dans les sandales, les jambes nues prenant couleur sous un short, les premiers débardeurs et les premiers bains de soleil.

 

Las ! Qu'en est-il cette année ?

Les sandales se sont transformées en caoutchoucs, le short en jean/chaussettes et le débardeur en superposition T-shirt/sweat/trench-coat/stetson (oooh ! de de mots étrangers sur mon corps en ce jour ! J'en frissonnerais d'horreur si je n'étais en train de m'emmitoufler dedans avec délices).

 

Bref, il pleut.

Et il fait froid.

En réalité, pas vraiment, mais l'humidité prégnante me rend toute chose glacée comme les filets d'eau qui coulent dans mon cou.

 

Est-ce bien le début de l'été ou me suis-je trompée de six mois, éclipse fortuite des meilleurs moments de l'année ?

 

Je rêve de chaise longue, peut-être me suis-je endormie ?

 

Rêve de soleil

Cet été se dérobe

La pluie me transperce

                       Cybione

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1 juin 2010 2 01 /06 /juin /2010 10:39

Je vous racontais mes démélés avec le régime que je fais actuellement sous les auspices de la méthode propoints weight watchers.

Le principe ? Il faut noter TOUT ce que vous mangez pour arriver à un total calculé par la diététicienne sur vos bases physiologiques (sexe, poids, taille âge...).

Son avantage ? Il s'agit plus d'un rééquilibrage alimentaire avec prise de conscience de son alimentation que d'un régime "sec".

Bref, ce que vous recommande tous les nutritionistes et diététiciens.

 

Quant à moi, je dois avouer que j'ai un gros problème avec cette méthode qui demande une rigueur exemplaire :  n'ayant pas toujours le petit carnet mémo devant les yeux, j'oubliais souvent de noter un repas ou deux, puis trois .. cela nuisant évidemment à son efficacité (il est tellement facile de manger plus !).

 

J'attendais donc avec impatience l'application officielle WW prévue pour le début de l'année 2010 en France, mais en juin elle n'est toujours pas à l'ordre du jour.

 

J'avais déjà essayé de bidouiller une application gratuite (ici) mais en furetant, oh miracle ! j'ai découvert cette petite application payant, iWatchr que j'ai payée la modique somme de 0.79 €.

 

Evidemment, elle n'est pas officiellement faite pour cette méthode (ce qu'annonce clairement le développeur) mais elle y convient parfaitement.

 

Seul petit bémol : elle est totalement en anglais, ce qui nécessite de comprendre cette langue (ou d'avoir un traducteur sous la main) pour faire les premiers pas et configurer l'appli.

En effet, elle est fournie avec des mesures anglo-saxonnes (pounds, livres...) à changer pour les européénnes dans les réglages.

 

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Personnellement, j'ai également téléchargé l'application complémentaire proposée dès l'ouverture d'iwatchr et dont le prix tournait autour de 0.70 (au diable l'avarice !),  mais elle ne m'a jamais été facturée).

Elle complète parfaitement l'application de base et permet , entre autres de saisir son poids.

 

Sinon, vous pouvez l'utiliser pour l'ancien  comme la nouvelle méthode (propoints) : il suffit de rentrer les points journaliers et (éventuellement) les points bonus.

Pour les premières utilisations, il faut rentrer au fur et à mesure les aliments, qui resteront en mémoire.

 

Il suffira de les sélectionner pour les afficher dans les repas du jour (petit-déjeuner, déjeuner, diner ou collations) :

 

iwatchr-2.jpg

 

 

 

Ici, l'exemple (pris sur le site du développeur) est en anglais, mais comme c'est vous qui rentrez les aliments, vous vous y retrouverez facilement.

Dans cette capture écran, la personne a droit à 21 points journaliers (foods points), tous utilisés (on peut choisir l'affichage des points utilisés ou de ceux restants).

Elle a également droit à 32 points bonus (qui sont automatiquement décomptés en cas de dépassement du quota journalier) et a 0 points de bonus sport.

Ceux-ci sont saisissables immédiatement en rentrant son poids, la durée de l'exercice et son intensité :

 

iwatchr6.png

L'affichage de l'historique permet de voir la consommation des derniers jours :

 

iwatch-1.jpg

 

 

Dernier bonus : le calculateur qui permet de calculer le "poids" des aliments non répertoriés en rentrant d'abord la formule donnée  par WW : plus besoin de vous trimballer la calculette propoints WW :

 

iwatchr-5.png

Ici, c'est pour les flexi points (autre mode de calcul) mais vous avez la même chose en propoints.

 

 

Bref une appli fantastique dont je n'ai pas encore fait le tour, faute d'avoir pris le temps (et le dictionnaire !) d'y aller farfouiller et de tout comprendre.

 

Elle ressemble d'ailleurs beaucoup à l'appli Weight watchers mobile déjà disponible sur les iTunes étrangers .

Bon, elle est moins colorée et n'a pas les applications complémentaires de l 'officielle :

- jolies photos

- recettes

- plan des lieux de réunions

mais le principal est  là, tout de suite, alors pourquoi bouder notre plaisir ?

 

Certes,  la version WW sera certainement gratuite, mais quand sera-t-elle disponible ?

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