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10 février 2009
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14:52
Bon, depuis presque un mois, je n'ai pas donné de nouvelles.
Depuis presque 3 semaines, je galère au boulot, à cause d'une panne de chaudière persistante.
Premier jour d'embauche : 14° ... pas chaud, mais quand même supportable, à condition de travailler avec le manteau.
Le réparateur, venu avec quelque retard (ils ne travaillent -en théorie- pas le lundi) a diagnostiqué une pièce à changer.
Dès sa réception, quelques jours plus tard (le vendredi), la chaudière a fonctionné... quelques heures.
Et le lundi suivant matin, la cata : 10° au compteur (ou plutôt au thermomètre) !
De nature gelée, je ressemblais à un glaçon, travaillant avec gants, manteau, gros pull, collants, jupe longue et bottes fourrées.... l'antithèse de la tenue sexy.
Nous avons même (avec l'accord de la direction) regagné nos pénates en début d'après-midi, la température polaire étant insoutenable.
Après maintes autres péripéties, dont je vous ferais grâce des détails (un humoriste aurait de quoi en faire un sketch) : chassé croisé de pièces, de convecteurs (prétés, repris, re-prétés), de techniciens, de responsables injoignables car en vacances (enfin, en déplacement), me voici de retour à la case départ mais avec des convecteurs qui rendent mon bureau douillet.
Tellement douillet que lorsque le soleil pointe à l'horizon de midi, je me retrouve dans un sauna chaffé à 30° en revenant de ma pause déjeuner, les convecteurs devant rester à fond pour espérer en temps normal avoir un royal 19-20 °.
Ce serait à mourir de rire si dans les autres pièces de la bâtisse, il ne faisait toujors 10°.
Aux dernières nouvelles, il s'agirait d'un problème de soupape (la chaudière fonctionannt au gaz).
Et, gag, j'ai appris hier (un peu tard puisque, semble-t'il, j'aurais du être au courant) que le propriétaire avait 2 contrats d'entretien différents (pour la chaudière et pour la cuve) et que le réparateur appelé (sur les conseils de sa secrétaire) n'était pas compétent en la matière (ça, j'avais remarqué).
Donc, j'en suis toujours au même point
Et que croyez-vous ? Je n'ai attrapé aucun rhume, malgré les nombreux refroidissemnts et chaud-et froid ressentis.
Bien que ma gorge m'eût gratté et mon nez eût coulé quelques fois (et je ne parle pas des pieds gelés toute la journée !).
Comme quoi le froid conserve (et la vermine est résistante).
Depuis presque 3 semaines, je galère au boulot, à cause d'une panne de chaudière persistante.
Premier jour d'embauche : 14° ... pas chaud, mais quand même supportable, à condition de travailler avec le manteau.
Le réparateur, venu avec quelque retard (ils ne travaillent -en théorie- pas le lundi) a diagnostiqué une pièce à changer.
Dès sa réception, quelques jours plus tard (le vendredi), la chaudière a fonctionné... quelques heures.
Et le lundi suivant matin, la cata : 10° au compteur (ou plutôt au thermomètre) !
De nature gelée, je ressemblais à un glaçon, travaillant avec gants, manteau, gros pull, collants, jupe longue et bottes fourrées.... l'antithèse de la tenue sexy.
Nous avons même (avec l'accord de la direction) regagné nos pénates en début d'après-midi, la température polaire étant insoutenable.
Après maintes autres péripéties, dont je vous ferais grâce des détails (un humoriste aurait de quoi en faire un sketch) : chassé croisé de pièces, de convecteurs (prétés, repris, re-prétés), de techniciens, de responsables injoignables car en vacances (enfin, en déplacement), me voici de retour à la case départ mais avec des convecteurs qui rendent mon bureau douillet.
Tellement douillet que lorsque le soleil pointe à l'horizon de midi, je me retrouve dans un sauna chaffé à 30° en revenant de ma pause déjeuner, les convecteurs devant rester à fond pour espérer en temps normal avoir un royal 19-20 °.
Ce serait à mourir de rire si dans les autres pièces de la bâtisse, il ne faisait toujors 10°.
Aux dernières nouvelles, il s'agirait d'un problème de soupape (la chaudière fonctionannt au gaz).
Et, gag, j'ai appris hier (un peu tard puisque, semble-t'il, j'aurais du être au courant) que le propriétaire avait 2 contrats d'entretien différents (pour la chaudière et pour la cuve) et que le réparateur appelé (sur les conseils de sa secrétaire) n'était pas compétent en la matière (ça, j'avais remarqué).
Donc, j'en suis toujours au même point
Et que croyez-vous ? Je n'ai attrapé aucun rhume, malgré les nombreux refroidissemnts et chaud-et froid ressentis.
Bien que ma gorge m'eût gratté et mon nez eût coulé quelques fois (et je ne parle pas des pieds gelés toute la journée !).
Comme quoi le froid conserve (et la vermine est résistante).
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Published by Cybione
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La vie quotidienne est un long fleuve pas toujours
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