3 décembre 2008
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Quatrième de couverture :
Trois mille ans se sont écoulés depuis l'extermination des doryphores, et les hommes se croient désormais seuls dans l'univers. Or, sur la planète Lusitania, on découvre l'existence des piggies, bipèdes mi-hommes mi-cochons doues d'intelligence.
Second livre de la saga Ender, cet ouvrage nous conte la vie d'Ender après sa démobilisation.
Ender a écrit la vie de la Reine (des doryphores), puis celle de son frère (l'Hégémon) et son livre (La Reine et l'Hégémon) est devenu le fondement d'une nouvelle religion humaniste "célébrée" par les porte-parole des morts.
Ender, qui (n'ayant cessé de voyager de planète en planéte) n'a pas vieilli au même rythme que l'humanité, est appelé sur une planète parler la mort de xénobiologistes tués par une nouvelle race sapiente extra-terrestre.
Là, il démontrera que les apparences sont trompeuses et que la biologie extra-terrestre n'a rien à voir avec celle des terriens.
Ce faisant, il dénouera les fils complexes des sentiments humains et trouvera la vérité par son humilité même, humilité qui lui a permis de survivre quand son nom est devenu symbole d'assassin.
Ce livre, plus mur que le précédent est toujours rempli du même humanisme.
Le thème de la rédemption y est toujours présent, mué par Ender en besoin de faire comprendre aux autres les ressorts des actes effectués dans une vie (donc la sienne, stigmatisée par le xénocide qu'il perpétra).
Bien qu'il puisse être lu séparément, il vaut mieux avoir lu La stratégie Ender pour apprécier pleinement ce texte.
Le ton y est plus grave, le rythme plus lent, la psychologie des personnages beaucoup plus fouillée.
Un grand Card.
Mon avis : 9/10
Trois mille ans se sont écoulés depuis l'extermination des doryphores, et les hommes se croient désormais seuls dans l'univers. Or, sur la planète Lusitania, on découvre l'existence des piggies, bipèdes mi-hommes mi-cochons doues d'intelligence.
Des scientifiques sont détachés pour les étudier mais, sans mobile apparent, ils sont assassines. L'humanité s'interroge : doit-on s'inquiéter de cette nouvelle menace, et la détruire?
Afin de rendre hommage aux victimes, on convoque sur la planète un porte-parole des morts. Mais voilà, dans ses bagages se trouve un cocon ou vit la dernière reine des doryphores. Car cet homme n'est autre qu'Ender, Le Xénocide.Second livre de la saga Ender, cet ouvrage nous conte la vie d'Ender après sa démobilisation.
Ender a écrit la vie de la Reine (des doryphores), puis celle de son frère (l'Hégémon) et son livre (La Reine et l'Hégémon) est devenu le fondement d'une nouvelle religion humaniste "célébrée" par les porte-parole des morts.
Ender, qui (n'ayant cessé de voyager de planète en planéte) n'a pas vieilli au même rythme que l'humanité, est appelé sur une planète parler la mort de xénobiologistes tués par une nouvelle race sapiente extra-terrestre.
Là, il démontrera que les apparences sont trompeuses et que la biologie extra-terrestre n'a rien à voir avec celle des terriens.
Ce faisant, il dénouera les fils complexes des sentiments humains et trouvera la vérité par son humilité même, humilité qui lui a permis de survivre quand son nom est devenu symbole d'assassin.
Ce livre, plus mur que le précédent est toujours rempli du même humanisme.
Le thème de la rédemption y est toujours présent, mué par Ender en besoin de faire comprendre aux autres les ressorts des actes effectués dans une vie (donc la sienne, stigmatisée par le xénocide qu'il perpétra).
Bien qu'il puisse être lu séparément, il vaut mieux avoir lu La stratégie Ender pour apprécier pleinement ce texte.
Le ton y est plus grave, le rythme plus lent, la psychologie des personnages beaucoup plus fouillée.
Un grand Card.
Mon avis : 9/10