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27 octobre 2007 6 27 /10 /octobre /2007 10:29
Puis-dire, en paraphrasant Montaigne...

Car l'amitié est comme l'amour, d'ailleurs n'est-ce-pas également une forme d'amour ?

Il en existe tellement de types, et l'on ne parle le plus souvent que de celui qui est sexué (et sexuel). Mais qu'en est-il de l'amour pa/maternel, filial, de l'amour que l'on a pour son chien ou son chat ?

Car cela aussi est de l'amour.

Pour en revenir à mes amies, je les aime sans modération, et, également comme dans un couple, nous subissons des moments de fâcherie, d'incompréhension.

Il n'empêche que nous avons pris le temps de nous connnaître, de nous apprécier, de nous apparier.

Même si l'une d'entre nous va faire des infidélités autre part... quand elle revient dans notre cercle, elle est de nouveau acceptée, quoique qu'avec une certaine froideur au début.

Je vois certaines de mes amies hebdomadairement, presque journalièrement, d'autres moins souvent.

Mais le lien reste fort : au moindre appel au secours de l'une d'entre nous, l'autre répond toujours présent.

Il existe également des liens plus ou moins forts suivant l'amie, question d'affinités, peut-être.

Et une amitié croît; se développe et murit au fil des ans.

Je suis quelqu'un qui se protège et se donne peu.
Mon premier reflexe est la défiance, héritage d'une éducation basée sur la méfiance de tout et de tout le monde.
Mais au fil du temps, je m'ouvre, comme une fleur à la caresse de l'amitié.

Ceci dit, les coups de gueule et les remises en ligne existent également.
Mais justement, parce que nous gardons toutes notre independance et notre liberté de jugement.
Encore heureux, d'ailleurs !

Sinon nos humeurs fluctuantes avec nos hormones nous feraient tourner les autres en bourrique... tous les mois.

Et n'est-ce pas agréable de se voir tendre un miroir par une personne qui nous est chère, et qui nous dit "arrête, là, tu vas trop loin, mais je n'en fais pas cas parce que tu es mon amie, et que je sais ce que tu ressens"
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commentaires

M
Eh ! oui, c'est ça l'amitié.... que, par pudeur on refuse parfois d'admettre. Admettre que jamais, au grand jamais, on a un besoin viscéral de nos amis mais qu'aussi, parfois, on les rejète pour cette même raison....<br /> <br /> Oui, je sais, je ne suis pas d'une clarté limpide. Disons que parfois, je me sens étouffée par ton amitié, Cybione mais que, d'autres fois, j'en ai très besoin mais, puisque je ne me comporte pas toujours avec toi avec complaisance, tu imagines que, quand j'ai besoin de ta présence, je ne la réclame pas, comme la fois, il y a un moment, où je n'allais pas bien et où je me serais coupé la langue plutôt que de l'admettre. Affaire d'amour propre mal placé aussi. Surtout.<br /> <br /> Voilà, mon amie, ma soeur, que j'aime sincèrement. Même si parfois tu m'agaces, même si ta nonchalence naturelle me hérisse (sans doute parce-que j'ai peur d'être contaminée); même si je te fais des infidélités avec Fred (qui, je le pense, est moins forte qu'elle le prétend, mais a-t-elle besoin de cela pour qu'on l'apprécie ? Montrer ses faiblesses aussi est humain...).<br /> <br /> Tu as l'intelligence de réfléchir sur toi-même, et la délicatesse de ne pas mettre le doigt sur les défauts de tes amies, qui en ont, bien entendu.<br /> <br /> Ce miroir que je te tends parfois, n'hésite pas à en user à l'occasion. Une remise en ligne, c'est vrai, ça fait très mal, mais c'est souvent salutaire. On ne se rend pas compte de l'image que l'on renvoie aux autres.
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C
C'est tellement vrai.Et quand je parlais d'infidélités, je ne pensais pas à toi qui, comme moi, a plusieurs amies (heureusement sinon cela virerait malsain, comme tu me l'avais fait remarquer il y a longtemps), mais à une autre de nos amies, qui nous avait "lachées" pour quelqu'un qui s'était fait accepter par nous puis nous avait dénigrées à tour de bras,  et qui est revenue, plus tard.Nous avions eu l'intelligence de ne pas rentrer dans le jeu de cette fausse amie, vraisemblablement plus motivée par l'intêret que par l'amitié. Et qui a fait beaucoup de mal à notre petit cercle de cops'.